Souhaitant devenir son propre patron, Aldo Farina a découvert le concept porteur de CosmétiCar. Il a ouvert sa franchise de lavage de véhicule sans eau en décembre 2013. Le franchisé marseillais explique aujourd’hui à Toute la Franchise tout l’accompagnement dont il a bénéficié de la part du réseau.
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Aldo Farina : Je suis responsable de l’agence Marseille Nord depuis trois ans. Avant de rejoindre le réseau, j’étais responsable d’atelier dans un l’industrie métallurgique.
TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
A.F. : J’avais envie de me lancer et de voler de mes propres ailes et je me suis rapidement tourné vers le modèle de la franchise car c’est un juste équilibre entre indépendance et encadrement. On a toujours quelqu’un avec qui échanger, qu’il s’agisse d’une personne au siège ou d’un autre franchisé. C’est important pour moi de pouvoir partager mon expérience.
TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
A.F. : Je n’étais pas du tout dans le secteur de l’automobile. Je n’étais pas à la recherche d’un secteur d’activité en particulier, je cherchais un concept innovant et porteur. Je l’ai trouvé avec CosmétiCar.
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
A.F. : A mes débuts, j’ai été accompagné pour la création de ma société, l’obtention des financements puis j’ai eu une formation technique durant une semaine à Paris suivie d’une formation commerciale terrain avec le responsable commercial du terrain qui s’est déplacé avec moi pour démarcher les premiers clients. Par la suite, j’ai également eu un soutien en matière de communication. Aujourd’hui, je suis toujours accompagné sur le volet commercial, technique et communication.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
A.F. : Après les différentes formations, j’étais pleinement apte à me lancer et à démarrer mon activité. Il ne faut pas oublier qu’en cas de question ou de doute, il y a toujours l’expert concerné du siège qui est disponible.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
A.F. : Tout à fait, les conditions sont claires et transparentes. Pas de mauvaise surprise, la preuve je suis encore là !
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
A.F. : Nous échangeons et communiquons régulièrement entre nous. Je collabore fréquemment avec les franchisés proches de mon secteur géographique. En parallèle, le siège multiplie les démarches pour créer des synergies entre nous : newsletter interne, séminaire, questionnaire…
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
A.F. : Je suis ravi de mon bilan, il va au-delà de mes espérances. Ainsi, depuis trois ans, je double chaque année mon chiffre d’affaires.
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
A.F. : Je suis quotidiennement sur le terrain avec mon équipe pour d’une part répondre au maximum aux besoins de nos clients et d’autre part pour trouver de nouveaux clients. La clé est la régularité : il faut se rappeler au client et multiplier les démarches. Je varie également mes types de cibles : entreprise, CE, concession, particulier…
TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
A.F. : Lancé depuis plus de dix ans, CosmétiCar est aujourd’hui leader sur son marché et à mon échelle cela se manifeste par un chiffre d’affaires qui ne cesse de croître.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
A.F. : Ce que je vis est encore supérieur à ce que j’avais prévu !
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
A.F. : C’est difficile de répondre à ce type de question mais ce qui est sûr c’est que se lancer avec un concept innovant, une équipe compétente et des outils performants sont les clés du succès.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
A.F. : Bien entendu, je suis ravi de mon aventure CosmétiCar ! J’ai encore plein de projets de développement en tête pour mon agence …
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par l'ouverture 'une franchise CosmetiCar ?
A.F. : Lancez-vous, contactez le siège, discutez avec l’équipe, appelez des franchisés ! Tout est une question de feeling ! C’est un choix réciproque !
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