Découvrez le témoignage du courtier Ma Petite Agence d'Angers
Yves Dailler est courtier Ma Petite Agence depuis février 2017, et lancera dès le mois de janvier une nouvelle implantation à Rennes. Pour Toute la Franchise, l'entrepreneur a accepté de revenir sur son parcours aux côtés de l'enseigne.
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Yves Dailler : J'ai 58 ans, j'ai travaillé 30 ans dans le commerce en tant que courtier en assurance et courtier en crédit. J'ai exercé entre autre une activité d'agent commercial en assurance.
TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
YD : J'avais démarché plusieurs concurrents, mais la proposition de MaPetiteAgence.com m'a séduit. Au départ, j'étais plus orienté sur le coaching en immobilier, et puis j'ai suivi les conseils de Jean-Baptiste QUINTRAND qui m'avait également formé à l'immobilier neuf. Aujourd'hui je travaille plus sur les programmes immobiliers neufs que dans l'ancien.
TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
YD : Je n'étais pas de la profession, mais l'immobilier m'a toujours plus. Je ne regrette pas d'avoir choisi ce métier qui est plus « léger » par rapport à mes précédentes expériences, notamment les produits d'assurance qui sont plus lourds à vendre.
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
YD : Les dirigeants sont disponibles bien que nous soyons vite autonomes. Il y a également un accompagnement technique, avec la participation à des salons par exemple.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
YD : Oui, je peux le dire, dans le domaine du neuf surtout, la formation est importante.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
YD : Les choses se sont affinées au fur et à mesure pour la remontée d'annonces. Le soutien commercial est important.
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
YD : J'ai des contacts avec certains de mes confrères, les relations se font dans les moments réseaux, lors des séminaires.
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
YD : Après 7-8 mois compliqués, je suis au-delà de mes espérances !
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
YD : Les actions de communication sont faites par le réseau, je m'applique à être disponible, à ne pas perdre un appel, à travailler les mails entrants...Il faut être réactif, virulent sur les prospects quand je détecte le potentiel et être rigoureux sur le suivi client.
TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
YD : Oui, l'approche est très bien, la démarche commerciale également.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
YD : Je n'avais pas assez de recul pour analyser.
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
YD : Non ce n'est pas possible.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
YD : Oui, sans hésiter.
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
YD : Être tenace, proche des gens et avoir un fond de roulement de 7 à 8 mois. Bien choisir et maîtriser son secteur. Participer aux formations.