« Le concept Oseys est vraiment différent de ce qui se fait sur le marché du conseil en entreprise », Sébastien Rouault (franchisé Oseys)
Ingénieur en électronique, Sébastien Rouault a débuté sa carrière sur des fonctions techniques avant de progressivement s’orienter vers des postes de gestion d’entreprise. Son parcours professionnel l’a notamment amené à diriger une petite entreprise, filiale d’un grand groupe européen. Cette expérience lui a permis d’acquérir les méthodes pour gérer et piloter une petite entreprise. Aspirant à se mettre à son compte, il s’est laissé séduire par les atouts de la franchise Oseys. Il a rejoint le réseau en décembre 2020 pour lancer son activité début janvier 2021 sur le secteur de Poitiers. Découvrez son parcours et les raisons qui l’ont motivé à devenir conseiller en pilotage d’entreprise avec le soutien du réseau Oseys.
OSEYS
Pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?
J'ai démarré ma vie professionnelle comme ingénieur en électronique, donc assez loin du monde de la gestion d'entreprise. J’ai exercé ce métier pendant une dizaine d'années, vraiment sur des missions techniques, avec un peu de contact clients mais orienté technique. J’ai ensuite été, pendant sept ans, directeur d'une petite entreprise d’électronique appartenant à un grand groupe européen. A ce poste, j’ai progressivement fait de moins en moins de technique pour me concentrer de plus en plus sur la gestion, mettre en place les outils pour bien gérer la structure avec le soutien de la maison mère. Cette expérience m’a permis d’acquérir des méthodes et m'a amené à réfléchir sur comment gérer une petite structure au quotidien.
Comment avez-vous avez connu la franchise Oseys et qu’est-ce qui vous a motivé à créer votre entreprise avec le réseau ?
J'ai découvert la franchise Oseys sur internet. Depuis quelque temps déjà, je réfléchissais à prendre mon envol pour me lancer dans le conseil et faire profiter à d’autres de mon expérience en gestion d'entreprise. C'est quelque chose qui m'intéressait.
Connaissant personnellement des artisans, je suis sensible aux problématiques qu’ils rencontrent. En voyant que certains travaillent 50 à 60 heures par semaine pour se rémunérer un Smic, je me suis dit qu'il y avait des choses à faire pour les aider, leur apporter de la méthode et de l’analyse dans le pilotage de leur société et leur permettre de se rémunérer à la hauteur de leur investissement. C'est quelque chose qui me tenait à coeur et qui m’a motivé à aller vers ce métier de conseil.
« Le concept Oseys est vraiment différent de ce qui se fait sur le marché et j’ai tout de suite adhéré »
Quant au choix de devenir franchisé Oseys, il a été motivé par l’approche du métier défendue par le réseau qui consiste à mettre à disposition des petites structures les méthodes et outils traditionnellement déployés dans de grandes entreprises. Le concept Oseys est vraiment différent de ce qui se fait sur le marché et j’ai tout de suite adhéré.
Pourquoi avoir choisi d’entreprendre en franchise ? N’avez-vous pas envisagé de vous lancer seul ?
Si, mais je l'ai vite écarté parce que je pensais ne pas avoir assez de crédibilité. Mon expérience m’a certes permis d’acquérir un certain bagage et de la confiance mais pas suffisamment pour aller démarcher des chefs d’entreprise et prétendre leur expliquer comment faire. Devenir franchisé Oseys me permet de m’appuyer sur un réseau qui m’apporte un outil, une méthode, un nom, du coaching, etc. J’ai aussi profité d’une formation commerciale dont j'avais besoin.
Pouvez-vous détailler ce que vous apporte le réseau Oseys ?
Si, du fait de mon expérience, je sais comment piloter une entreprise, je ne savais pas forcément retranscrire ce savoir-faire auprès de chefs d’entreprise. Comme je le disais, le réseau m’apporte donc sa méthode et un outil mais aussi du coaching et une formation. En tant que franchisé Oseys, nous sommes notamment épaulés sur la partie commerciale et la prospection ce qui est important parce que, pour la plupart d'entre nous, c'est quelque de nouveau et certainement l’aspect le plus difficile du métier.
Même si c’est assez récent, Oseys peut aussi nous faire profiter de contrats cadre négociés au niveau du groupe ce qui peut nous permettre de profiter d’affaires auxquelles nous n’aurions pas eu accès en étant seuls. On voit aussi que le concept évolue avec des propositions de nouveaux outils pour rendre notre offre toujours plus riche et plus attrayante. Je n’ai pas un grand retour d’expérience parce que je ne suis entré dans le réseau qu’en début d’année, mais je trouve que l’accompagnement est très bien.
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Quel bilan tirez-vous de ces premières semaines en tant que franchisé Oseys ?
Ce n’est pas facile ! Ce n'est pas facile parce qu'il faut se mettre dans le bain et que je ne vais évidemment pas obtenir 10 clients en un mois. Ce n’est pas possible mais je le savais. Il y a toute la partie prospection commerciale qui doit se mettre en place. C'est ce sur quoi je travaille aujourd'hui. J’essaie de me développer, de me faire connaître, d'enchaîner les rendez-vous pour présenter mon offre mais aussi pour me perfectionner et gagner en confiance.
Comment envisagez- vous l'avenir ? Etes-vous serein, avez-vous des craintes ?
Je suis assez confiant. Le début confirme ce que je pensais. C’est-à-dire, comme je le disais, que la réussite de mon entreprise ne va pas se faire toute seule. Il faut se retrousser les manches sur la partie commerciale et aller chercher les clients.
« J'ai confiance dans l'outil, dans la méthode, dans le réseau et dans mes capacités à faire le boulot »
Mais j'ai confiance dans l'outil, dans la méthode, dans le réseau et dans mes capacités à faire le boulot. Aujourd’hui, je m’attèle à la partie commerciale qui est certainement le plus gros challenge pour moi et il n'y a pas de raison que ça ne fonctionne pas. Je suis donc assez confiant pour l'avenir.
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Quels conseils donneriez-vous à un porteur de projets qui serait intéressé par la franchise Oseys et qui hésiterait à se lancer ?
De discuter avec la tête de réseau et avec des consultants déjà en place. Surtout de ne pas hésiter à échanger avec la tête de réseau, à partager ses craintes, ses points forts et ses points faibles. Il faut tout mettre sur la table pour ne pas se tromper parce qu’une fois lancé, si on se trompe ça peut faire mal. Il vaut mieux tout envisager avant, et bien discuter. Et puis, si la majeure partie des voyants sont au vert et que ceux qui sont à l’orange peuvent devenir verts par diverses actions, y compris l'aide du réseau, il faut y aller !
Envie d’en savoir davantage sur Oseys et l’accompagnement proposé par le réseau pour devenir expert en pilotage d’entreprise ? Rendez-vous sur la fiche de présentation de la franchise Oseys.