« L’accompagnement de la franchise a été fait avec efficacité et rigueur tout en restant flexible et bienveillant » Laurie Brualla (Ô P’tit Môme)
Laurie Brualla a rejoint le réseau Ô P’tit Môme dans le département des Alpes-Maritimes en 2019. Elle nous en dit plus sur son parcours aux côtés du concept de micro-crèches.
Ô P'TIT MÔME
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Laurie, j’ai 32 ans et j’habite à Roquebrune-Cap-Martin.
J’ai réalisé mon parcours scolaire en alternance et ai obtenu un BTS MUC puis un Bachelor responsable de développement commercial et marketing.
Comprenant rapidement que la maitrise de l’anglais était essentielle pour accéder à plusieurs postes, je suis partie m’installer en Nouvelle-Zélande.
Après un an, je décide de rentrer et trouve un poste de coordinatrice évènementielle au sein de la fédération internationale de motonautisme.
En sept ans, j’ai eu la chance de voyager aux quatre coins du monde et d’être formée en interne et en spécialisant mes connaissances pour devenir responsable des compétitions internationales de jet ski puis administrateur anti-dopage, en charge de la cour internationale d’appel de motonautisme.
Un métier passionnant mais qui n’était plus en adéquation avec ma nouvelle vie de jeune maman de 29 ans.
Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
Encore en congé maternité et rencontrant des difficultés pour trouver une place en crèche pour accueillir mon bébé de six mois, je découvre le format micro-crèche qui n’existe pas près de chez moi et trouve un local adapté dans la même journée.
Je consulte le site de Toute la Franchise et découvre plusieurs franchiseurs de micro-crèche.
Mon choix se tourne rapidement vers Ô Ptit Môme, qui est la seule franchise que je contacte. Après un échange téléphonique avec son directeur, Jimmy Dacquin, je prends un billet d’avion quelques semaines plus tard pour le rencontrer et ainsi découvrir le monde de la petite enfance en visitant des micro-crèches du réseau. Mon cœur de maman est convaincu, et une âme d’entrepreneur commence à voir le jour.
Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagnée dans votre activité ?
J’ai été accompagnée pour toutes les étapes du projet. Malgré des difficultés liées à la crise sanitaire et des restrictions de déplacement et de travail drastiques, la micro-crèche Bébé Cherry ouvre ses portes en décembre 2020, soit un an après la signature de mon contrat de franchise. De la visite du local à la visite de conformité, Jimmy suit mon projet de près. En 2021, l’équipe d’Ô Ptit Môme s’agrandit à la vitesse de l’éclair et plusieurs nouveaux services sont créés, services sur lesquels je me repose au quotidien pour gérer mon entreprise.
La deuxième micro-crèche Bébé Cherry est déjà en cours de réalisation et j’espère qu’elle verra le jour fin 2022, bien évidement toujours signée by Ô Ptit Môme. Même en ayant acquis des connaissances sur le métier et la création d’une micro-crèche, je ne me lancerai toujours pas seule dans cette aventure.
La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
Oui, la micro-crèche a ouvert dans d’excellentes conditions malgré un climat très anxiogène et des institutions fragilisées par la pandémie.
Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
Oui, le fait que la micro-crèche Bébé cherry ait vu le jour en un an prouve que le travail et l’accompagnement de la franchise a été fait avec efficacité et rigueur tout en restant flexible et bienveillant dans les choix que je souhaitais faire.
Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
Il y a un vrai esprit réseau, nous échangeons au quotidien. J’ai même trouvé plus que des « collègues » et rencontré de merveilleuses personnes avec qui je partage aussi mon quotidien le week-end.
En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
Ma première année d’exercice est bien au-delà de ce que nous avions estimé puisque nous avons réalisé le CA prévu à N+3.
2022 semble déjà dépasser ce que j’aurais pu imaginer également à si court terme.
Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
Je réalise très peu d’action à vrai dire… Le bouche à oreille fonctionne bien et nous avons eu la chance de faire un jolie « buzz » en local dès l’ouverture.
Les bébés accueillis à quelques mois restent pour trois années consécutives, la Team Fruitée réalise un travail fantastique au quotidien, et les parents en parlent d’eux-mêmes au parc, devant les écoles, dans les commerces.
Nous avons une liste d’attente pour les rentrées de 2022 et 2023 et cherchons donc à ouvrir d’autres structures pour pallier le manque.
Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
Absolument ! Il est difficile de faire une activité plus pérenne, avec un vrai potentiel de développement rapide (et à la fois très gratifiantes et pleine d’amour)
L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
Oui, elle dépasse même mes espérances.
Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seule ?
J’en doute, nous sommes le premier établissement en format micro-crèche privée à s’ouvrir dans l’est des Alpes-Maritimes. Beaucoup de projets ont été commencés et aucun n’a vu le jour avant le nôtre.
Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
Sans aucune hésitation.
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
Lancez-vous avec Ô P’tit Môme !!! Seul(e), vous n’irez pas plus vite, et surement pas plus loin.
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