« Nous sommes là pour accompagner nos franchisés dans leur réussite, qui ne manquera pas d’arriver puisque le sushi reste un produit pérenne et bien installé ! », Romain Schneider (Su and Shi City)
Avec un premier restaurant franchisé ouvert à Marseille et plusieurs autres en cours d’ouverture dans l’ensemble de la France, le tout jeune réseau de franchise Su and Shi City connaît déjà un beau succès. Un succès sur lequel revient aujourd’hui Romain Schneider, en charge du recrutement au sein du groupe, pour Toute la Franchise.
SU AND SHI city
Quel est le concept de Su and Shi City ?
Il faut rappeler avant tout que l’ADN de ce concept est Su and Shi Luxury, qui est né il y a douze ans de la volonté de trois associés de proposer une restauration japonaise classique, avec service à table. Positionnés sur le moyen haut de gamme, ils ont été rapidement sollicités par des candidats qui souhaitaient se lancer en franchise à leurs côtés.
Face aux évolutions du marché de la restauration, ils ont entamé en 2018 une réflexion pour trouver un concept plus simple à mettre en place, à la fois au niveau de l’emplacement et de l’investissement nécessaire. C’est ainsi qu’est né le pilote de Su and Shi City, sans service à table, mais uniquement pour de la livraison ou de la restauration à emporter.
Les établissements de l’enseigne s’étendent en moyenne sur 25 à 40m² et permettre de proposer des sushis et autres produits de la restauration japonaise avec un excellent rapport qualité prix puisque la masse salariale a été réduite au maximum.
L’idée de base était donc de dupliquer la réussite de Su and Shi Luxury en supprimant un maximum de contraintes ?
Exactement ! Forts de leurs années d’expérience et du succès de leur carte sur le marché des sushis, les fondateurs du groupe ont choisi de repenser le projet en gardant les idées de base qui avaient fait ce succès et en supprimant tout ce qui est contraignant dans la restauration classique.
Il n’y a par exemple pas besoin d’être sushiman pour ouvrir un Su and Shi City. Le niveau d’investissement pour ce nouveau concept est également bien moindre : 80.000 à 100.000€ sont suffisants pour ouvrir un restaurant CIty alors qu’il faut compter entre 400.000 et 600.000€ pour un restaurant Luxury. Le concept ne s’adresse ni aux mêmes clients ni aux mêmes candidats !
Quels sont les atouts du réseau sur le marché de la cuisine japonaise ?
Le premier atout du réseau est justement d’évoluer sur le marché de la restauration japonaise qui est un marché très résilient ! Ce n’est pas un phénomène de mode qu’on a vu apparaître il y a quelques années et qui peut potentiellement disparaitre comme il est venu. Le sushi bénéficie d’une bonne image, qui matche bien avec les tendances actuelles. C’est un produit sain, qu’on peut manger sans problème une fois par semaine. Et il y a finalement peu d’acteurs structurés sur ce marché !
Su and Shi City arrive avec un concept éprouvé, des produits de qualité et un excellent rapport qualité prix. Le réseau a toutes les cartes en main pour séduire, d’autant plus que tout ce qui est dupicable chez Luxury est importé chez City. Nous proposons donc très régulièrement de nouvelles recettes avec le packaging travaillé qui fait la réputation de l’enseigne.
Nous souhaiterions signer dix DIP d’ici 2023 pour ouvrir cinq restaurants dans le courant de l’année et en avoir cinq en cours d’ouverture
Le lancement du concept City est récent, puisqu’il date du printemps 2021. Quel est l’état actuel du développement du réseau ?
Nous avons ouvert notre premier restaurant franchisé à Marseille Saint Antoine en mars 2021 et les franchisés cherchent actuellement à ouvrir un second point de vente dans la ville. Notre prochaine ouverture vient d'avoir lieu à Montpellier. Viendront ensuite des villes comme Lyon ou Bordeaux, où les projets sont bien avancés. Puis d’autres villes où nous avons de bons candidats pour des ouvertures à moyen terme.
Quels sont les objectifs du groupe pour 2023 ? Et à plus long terme ?
Nous souhaiterions signer dix DIP d’ici 2023 pour ouvrir cinq restaurants dans le courant de l’année et en avoir cinq en cours d’ouverture. L’objectif sur le long terme est bien évidemment de mailler au maximum le territoire avec l’idée d’avoir plusieurs restaurants dans les grandes villes pour couvrir tout le secteur mais aussi de s’implanter dans de plus petites villes où ce type d’offres n’est pas encore très présent. La livraison de sushi en dehors des grandes villes ne fait pas encore partie des habitudes et c’est ce que nous voudrions changer. Le concept s’appuie bien entendu en priorité sur les plateformes de livraison existantes. Mais si un franchisé identifie un vrai potentiel dans une ville où elles ne sont pas présentes, il pourra parfaitement mettre en place son propre service de livraison.
Quel est le profil idéal pour devenir franchisé Su and Shi City ?
Nous avons plusieurs profils types :
- les investisseurs avec une stratégie de maillage qui porte sur plusieurs établissements avec une rentabilité très forte
- les primo-accédants qui souhaitent se mettre à leur compte
Pour les exploitants, il est important d’être capable d’intégrer un certain nombre de contraintes inhérentes à une création d’entreprise en réseau, comme les process à respecter. Les franchisés Su and Shi City doivent également être à l’aise dans le recrutement et le suivi des collaborateurs, car même s’ils ne sont pas nombreux, il est important de savoir les garder !
Enfin, il est important de noter que, contrairement à la plupart des enseignes de restauration, ce n’est pas l’apport personnel qui va jouer un rôle déterminant dans le choix de nos franchisés ! Pour ouvrir un restaurant à nos côtés, il suffit de 25.000€. C’est peu sur le marché et cela permet à des jeunes qui souhaitent se lancer de devenir patrons sans attendre !
Ces primo-accédants sont-ils nécessairement issus de la restauration ? Comment les accompagnez-vous dans l’ouverture de leur restaurant ?
Non, pas besoin de posséder une expérience dans la restauration même si c’est quand même mieux de savoir ce qu’est la restauration avant de se lancer ! Nous leur proposons une formation initiale de dix jours minimum et nous adaptons ensuite aux besoins des candidats. Nous les accompagnons à l’ouverture de leur restaurant durant une semaine environ pour les aider à bien appréhender leur nouveau métier. Les franchiseurs sont restés sur le terrain et sont très à l’écoute de leurs franchisés.
Quel conseil donneriez-vous à un candidat qui hésite à se lancer au vu du contexte économique actuel ?
Je lui rappellerais avant tout que le concept de Su and Shi est relativement simple à monter avec un apport personnel nécessaire qui est assez faible. Il y a une vraie souplesse dans l’organisation, avec des horaires d’ouverture qui s’adaptent à la fois au secteur d’implantation (uniquement le midi si on est sur une zone de bureaux par exemple) et aux besoins des franchisés, pour un bon équilibre vie professionnelle / vie personnelle.
Pour ce qui est du contexte économique et de la période, je pense que cela inquiète surtout les primo-accédants qui ont besoin d’être rassurés. Et c’est notre rôle ! Nous sommes là pour les accompagner dans la réussite de leur projet, qui ne manquera pas d’arriver puisque, encore une fois, le sushi reste un produit pérenne et bien installé !
Découvrez les atouts de la franchise Su and Shi City ⇩