Pascal Perrin est un entrepreneur chevronné. Basé à Lyon, il a créé et dirigé une entreprise spécialisée dans l’audition durant plus de 10 ans avant de la revendre pour se lancer dans une nouvelle activité dans le secteur du nettoyage industriel en reprenant une entreprise. Récemment, il vient de rejoindre le réseau As de Pic pour déployer sur la région lyonnaise son concept de lutte contre les nuisibles. Il explique pourquoi il a décidé de devenir franchisé As de Pic.
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Pascal Perrin : Je suis franchisé As de Pic à Lyon. Je suis directeur général de la holding START SAS et propriétaire de la société ECS (Entretien Clean Service) qui a réalisé 2 M€ en 2016. J’ai racheté cette entreprise de nettoyage industriel en 2011 en association avec Stéphane Aviles (Président de START SAS et gérant de ECS). En 2001, j’ai créé puis développé pendant 11 ans un réseau de 4 centres de correction auditive sur l’est lyonnais, avant de le revendre en 2012. Auparavant, j’avais débuté ma carrière en tant que technico-commercial en évoluant jusqu’au poste de responsable « Business Unit » dans le domaine de la motorisation électrique (B to B).
TLF : Pourquoi avoir choisi le système de la franchise, et le réseau As de Pic en particulier ?
PP : J’ai décidé de recourir à la franchise :
- pour l’apport de connaissance sur le secteur et la garantie d’une adaptation aux besoins du marché ;
- pour l’effet d’expérience ;
- pour le gain de temps pour le démarrage et le suivi d’une telle activité (sourcing, technique de vente, techniques de traitement éprouvés, etc…) ;
- pour pouvoir traiter des clients nationaux.
Pourquoi As de Pic ? L’élément principal était d’être en phase en termes de volonté de développement et de positionnement marché. Nous avons trouvé chez As de Pic notre équivalent au domaine du nettoyage : ne pas céder à la guerre des prix mais défendre une réelle valeur ajoutée permettant de se différencier de la concurrence et de fidéliser notre clientèle. De plus, c’est une société à taille encore « très humaine », très à l’écoute et réactive.
TLF : Que vous a apporté votre franchiseur jusqu'ici ? Qu'en attendez-vous par la suite ?
PP : Toute la connaissance nécessaire pour démarrer cette activité. Actuellement en phase de lancement commercial, nous attendons le conseil et ce regard extérieur permettant de déceler nos points d’amélioration.
Pour la suite : l’apport de contrats nationaux, une notoriété de la marque permettant de mieux se battre contre les gros acteurs du secteur et faciliter également le développement commercial par l’arrivée de prospects sans recherche active.
À plus long terme : une adaptation permanente des techniques de traitement permettant une efficacité terrain. Une veille juridique sur un secteur qui est train de se structurer, y compris au niveau législatif (utilisation de produits dangereux).