Sylvie Sancho est franchisée du réseau Anne Elena Beaulieu dans la ville de Châteauroux dans le département de l'Indre. Elle nous explique ici son choix d'avoir opté pour le concept en franchise Anne Elena Beaulieu pour créer son agence matrimoniale.
Toute La Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Sylvie Sancho : Je suis Sylvie Sancho, j’exerce à Châteauroux d’où je suis originaire, c’est une région très rurale. J’ai toujours aimé le contact, être à l’écoute d’autrui. Depuis longtemps, je détaillais les couples parfois mal assortis, sans affinité, sans un regard sur l’autre, sans geste de tendresse... Tout cela m’interpellait, et je me disais : "c’est dommage". Aujourd’hui je me sens fière du métier que j’exerce : écouter, comprendre, conseiller, unir, rendre des gens heureux, compatibles, désireux d’aller de l’avant…
TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
SS : Le premier contact avec mon franchiseur Anne Elena Beaulieu, représenté par Madame Lubet, s’est réellement bien passé. J’ai tout de suite discerné le sérieux, l’humanisme, le respect, le bon relationnel que dégageait le franchiseur. Nous nous sommes rencontrées. L’entretien a été de qualité, les explications claires, nettes. Madame Lubet a répondu à toutes mes questions.
J’ai consulté des concurrents de l’enseigne, bien évidemment. Je n’ai pas été aussi à l’aise avec eux Leurs explications ne me séduisaient pas du tout, notamment à cause :
- de l’obligation d’installer un bureau en centre-ville, qui est à mon sens une mauvaise idée à cause de la confidentialité recherchée par les clients,
- de la location de bureau,
- des tarifs excessifs pratiqués pour la vente des contrats de courtage matrimonial,
- des investissements demandés en communication.
TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ?
SS : Non je n’étais pas de la profession avant de me lancer. Je souhaitais être indépendante, changer d’orientation professionnelle J’ai toujours aimé le contact, être à l’écoute des autres. Comme je l'explique plus haut, j'ai, depuis toujours, développé un intérêt pour les relations de couple et des qualités pour m'épanouir dans cette activité… Cette profession est valorisante et je ressens une certaine fierté à l’exercer. Depuis mon plus jeune âge, j’ai rêvé d'aider des couples à se former et de rendre les gens heureux.
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
SS : J’ai toujours été bien accompagnée dans mon activité, y compris après huit années d’exercice. Le franchiseur m’a aidé dans le montage de mon prêt bancaire. Il est toujours à l’écoute, répond aux questions posées, aux petites inquiétudes passagères... Une vraie présence.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
SS : Je qualifierais la formation d’excellente. Une formation de qualité, intéressante, prenante, complète, qui vous donne la possibilité de vous mettre au travail. Tout est vu, expliqué, jusqu’à ce que les modules soient assimilés. Rien n’est laissé au hasard.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
SS : Oui, mon franchiseur est au top et a toujours respecté ses engagements.
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
SS : Les relations avec les collègues sont bonnes et se passent bien, l’esprit réseau est présent et appréciable.
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
SS : J’ai atteint sans problème l’objectif que je m’étais fixé. Pour ce faire, il m'a suffi de mettre en place les conseils du franchiseur et ne pas me lancer dans des initiatives que je ne pouvais pas maitriser.
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
SS : Cette profession repose sur la communication. Il faut communiquer régulièrement, intelligemment et consciencieusement. J’ai développé énormément ma publicité, investi dans une communication de qualité, tant dans les journaux, le site internet, les réseaux sociaux, la distribution de flyers, les parrainages, le relationnel…
TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ? L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
SS : Oui je peux dire que le concept est bien positionné. C’est exactement ce que j’attendais, ce que je souhaitais. Cette franchise a su intelligemment développer un concept basé sur des charges réduites au strict minimum. Pas de dépense inutile, tout est calculé de façon à limiter les frais.
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez dû la créer seule ?
SS : Non certainement pas. Je pense sincèrement que nous ne pouvons pas nous lancer individuellement dans la profession sans connaissance, sans formation (c’est un vrai métier). Il y a tellement de choses à savoir, apprendre, connaitre. Par exemple, savoir rédiger une annonce, faire apparaitre les mots-clés, un soupçon de psychologie, mettre en place les argumentaires, connaitre les documents, l’administratif, les lois sur le courtage matrimonial, le respect d’autrui... En outre, la franchise met à notre disposition tous les documents et pièces nécessaires à l’activité. Si j’avais dû les faire établir par un avocat, cela m’aurait couté au moins le prix du droit d’entrée uniquement pour cette partie. Le calcul a été rapidement fait.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
SS : Plutôt deux fois qu’une. Grace au franchiseur, j’ai un travail qui me plait, je gagne correctement ma vie. C’est une bonne rentabilité.
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
SS : Allez-y, lancez-vous ! C’est une belle profession avec un bel avenir, ouvert et prometteur. Je gère mon emploi du temps comme je le souhaite. La franchise ne conseille pas de louer un bureau en centre-ville, pour recevoir ses clients, c’est une excellente idée. Ne pas avoir de bureau à plusieurs avantages dont celui de diminuer les frais de gestion, de ne pas supporter les frais du loyer et ne pas dépendre d’horaires de bureau.
Un avantage primordial : tous les prospects honorent leurs rendez-vous puisque je les rencontre à leur domicile.
Autre avantage : la franchise conseille de pratiquer des prix raisonnables de contrats d’adhésion, cela permet d’inscrire beaucoup d’adhérents, de ne pas avoir d’annulation ou d’impayés. Cela offre également plus d’aisances pour :
- proposer des rencontres,
- insérer des petites annonces.
Ce sont des points importants qui échappent à beaucoup de candidats à la franchise mais qu’il faut absolument prendre en considération. Avoir très peu de charges est également rassurant et synonyme de rentabilité. Enfin, j’apprends beaucoup au contact de mes adhérents.
Nos interviews sont la propriété de Toute la Franchise et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise.