Alexandre Martins est franchisé du réseau Easy Cash à La Rochelle. Avec Toute La Franchise, il revient sur son parcours d'entrepreneur, et sur tout ce que l'enseigne lui a apporté depuis le lancement de son projet.
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Alexandre MARTINS : Après des études commerciales et une expérience familiale dans un magasin GITEM, je décide de rejoindre l’enseigne Easy Cash à Niort en 2001, que je connaissais en tant que consommateur.
Je commence en tant que responsable de rayon, puis deviens rapidement adjoint du magasin aux côtés de Stéphane Maugenet, franchisé de Niort.
Après 4 ans d’expérience au sein du magasin de Niort, je décide de rejoindre ma ville natale, pour ouvrir Easy Cash La Rochelle en association avec Stéphane Maugenet.
TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
A.M. : Après y avoir travaillé 4 ans, c’est tout naturellement que j’ai ouvert La Rochelle avec Easy Cash.
Je ne me suis pas posé la question de consulter la concurrence.
Le concept était déjà bien abouti malgré sa jeunesse, avec un savoir-faire et une solidarité qui ne fait toujours pas défaut à ce jour.
C’est d’ailleurs certainement ce qui explique en partie la réussite du réseau, et qui en fait l’enseigne réfèrente sur son secteur d’activité.
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
A.M. : A l’époque où j’ai démarré, le réseau n’était pas encore staffé comme il l’est aujourd’hui. Et puis, avec 4 ans d’expérience au sein du réseau, je n’ai pas fait toutes les étapes classiques de formation d ‘un nouveau franchisé.
Mais j’ai toujours bien été accompagné, que cela soit par les animateurs ou tout le siège Easy Cash, qui ont toujours mis les moyens pour bien assister les franchisés.
Des formations et des rendez-vous métiers sont organisés tout au long de l’année pour envoyer les collaborateurs sur des thèmes très précis : en informatique en téléphonie, en bijouterie, etc.,
De plus, est mis à notre disposition un outil informatique très pointu et performant qui nous permet de nous benchmarker et de piloter notre activité au quotidien.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
A.M. : Je n'ai rien à y redire. Easy Cash s’engage à nous proposer un service sur mesure avec un accompagnement de l’équipe du siège à tous niveaux.
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
A.M. : Comme je l’ai dit précédemment, il y a une solidarité importante au sein du réseau. On communique beaucoup et on n’hésite pas à s’entraider ou à se donner de bonnes astuces pour améliorer notre quotidien.
Des réunions régionales et nationales ont lieux régulièrement pour faire le point sur les évolutions de notre marché, que ce soit en termes de chiffre, ou de réglementation fiscale ou sociale.
La mutualisation de ces échanges permet de grandir ensemble.
Suite à ces réunions, des groupes de travails peuvent se mettre en place en collaboration avec la franchise et des outils sont développés pour tous le réseau.
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
A.M. : Par définition, un objectif est fait pour être atteint et dépassé. Donc, on ne cesse de se fixer des nouveaux objectifs pour être toujours plus performant.
Dans l’ensemble, on peut dire que j’ai réalisé pas mal de mes objectifs, mais dans le commerce, rien n’est jamais acquis et il faut sans cesse se remettre en question pour perdurer et atteindre ses objectifs.
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
A.M. : Je m’efforce d’avoir des magasins propres, bien achalandés, et d’accueillir au mieux les clients, pour qu’ils s’y sentent bien et pour qu’ils reviennent le plus souvent possible.
La satisfaction des clients est primordiale. Le client doit être au centre de nos priorités.
Bien sûr la publicité est aussi un outil supplémentaire pour développer le business.
TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
A.M. : Le marché de l’occasion n’est qu’au début de sa démocratisation et promet des perspectives d’évolutions importantes.
Nous sommes dans un marché où les produits technologiques se renouvellent de plus en plus rapidement. Ce n’est pas pour rien que beaucoup d’enseignes de la grande distribution s’y intéressent.
Mais nous avons pour l’instant l’avantage de l’expérience et d’avoir un réseau bien positionné sur le marché de l’occasion. C’est notre capacité d’innovation qui fait notre succès. Nos magasins évoluent en permanence pour toujours être en phase avec notre marché.
Nous avons lancé un site internet marchand. Nous sommes passés à la garantie d’1 an et beaucoup d’autres innovations qui nous permettent, à mon avis, d’être les spécialistes de l’occasion avec une volonté affichée, faire d’Easy Cash l’enseigne référente de l’occasion.
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
A.M. : Certainement pas avec autant d’assurance et de résultats. On est toujours plus fort à plusieurs que tout seul. C’est ça, la force d’un réseau. On mutualise tous nos problèmes et nos réussites. La franchise développe les outils adéquats pour nous faciliter la vie au quotidien et donc nous permettre de performer.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
A.M. : Oui sans hésiter.
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
A.M. : Ayez de la motivation et de la passion !
Nos interviews sont la propriété de Toute la Franchise et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise.