La franchise Guy Hoquet l’Immobilier attire toujours plus de jeunes cadres désabusés du salariat
Le réseau Guy Hoquet l’Immobilier présente un excellent bilan de l’année en termes de développement. Après une année 2015 en demi-teinte, au cours de laquelle le réseau avait signé 58 contrats de franchise, l’année 2016 a été marquée par une forte reprise du développement avec pas moins de 104 nouveaux contrats signés. Parmi ces nouveaux franchisés, l’enseigne constate une recrudescence de postulants à la franchise toujours plus jeunes, pour la plupart de jeunes cadres qui ne croient plus au salariat pour assurer leur avenir.
L’immobilier, un marché à la demande immuable
Créer une entreprise dans l’immobilier reste une valeur sûre. Le marché, bien que soumis comme tous les marchés aux fluctuations économiques, jouit en revanche d’un atout de taille : un produit qui sort du prisme classique des biens de consommation. Bien plus qu’un simple bien de consommation, le logement est en effet un réel bien de nécessité. Chacun a besoin de se loger, que ce soit en location ou acquisition. Le marché de l’immobilier doit ainsi répondre à une demande constante et en renouvellement permanent. En fonction de la conjoncture économique, certaines périodes sont cependant plus ou moins fastes pour ouvrir une agence immobilière. Et il s’avère que l’année 2016, qui a connu une nette reprise de l’activité stimulée par les taux d’intérêts extrêmement bas et une baisse des prix, a été propice à l’installation de nouvelles franchises (cf. Le bilan 2016 de Guy Hoquet l’Immobilier dépeint un marché immobilier en effervescence).
« Le marché immobilier a été particulièrement porteur en 2016, confirme Fabrice Abraham : tous les grands réseaux nationaux l’ont annoncé, la reprise a été marquante. » Le directeur général du groupe Guy Hoquet ajoute qu’« avec 850 000 transactions dans l’ancien au global sur le marché, et un réseau comme le nôtre qui réalise 11,5% de transactions de plus que l’année dernière, nous pouvons dire que nous sommes sur un marché fortement dynamique, marqué par des taux bas ». Une dynamique forcément attractive pour les personnes aspirant à créer une entreprise.
« Les jeunes cadres font le choix de la franchise parce qu’ils ne croient pas en l’avenir du salariat »
Le service développement de la franchise Guy Hoquet l’Immobilier n’a donc pas chômé en 2016. Avec 104 nouveaux contrats de franchise signés au cours de l’année, le réseau multiplie quasiment par deux ses chiffres de 2015 en matière de développement.
L’année 2016 a également été marquée par l’arrivée sur dans le secteur des franchises immobilières, de candidats à la franchise toujours plus jeunes. Historiquement, le profil type du candidat à la franchise Guy Hoquet l’Immobilier est celui d’un cadre salarié, quadragénaire ou quinquagénaire, en reconversion. Fabrice Abraham précise que ces aspirants à l’entrepreneuriat qui décident d’ouvrir une agence immobilière en franchise avec le réseau Guy Hoquet l’Immobilier sont essentiellement d’« anciens salariés de grandes entreprises qui souhaitent devenir indépendants tout en étant soutenus par une enseigne [et qui] vont choisir pragmatiquement un domaine d’activité parmi les plus florissants ».
L’enseigne note cependant un accroissement significatif du nombre de candidatures de jeunes cadres désabusés par le salariat. « Des jeunes cadres qui font le choix de la franchise, non plus pour démarrer une seconde vie, mais plutôt parce qu’ils ne croient pas en l’avenir du salariat, appuie Fabrice Abraham. Ils pensent que, pour assurer leurs revenus et leur retraite, l’emploi salarié est de moins en moins efficace. Et, sans présager de leur résultat, les prochaines échéances électorales ont certainement joué un rôle en cette année 2016. »
Malick Cidère, qui a repris, début 2016, l’agence immobilière Guy Hoquet de Brest (cf. Un nouveau franchisé rejoint Guy Hoquet l’Immobilier à Brest), fait partie de ces jeunes cadres qui croient en l’entrepreneuriat comme une alternative plus avantageuse que le salariat. « Entreprendre, c’est avant tout la volonté d’être libre et de s’engager soi-même fortement dans un projet », proclame le franchisé, ancien cadre supérieur pour un grand groupe d’immobilier. Ce besoin de liberté et d’engagement sont les deux principales motivations qui l’ont poussé à créer sa propre entreprise. Le chef d’entreprise souligne également que « nous entrons dans une ère où le statut de salarié est amené à évoluer, à se flexibiliser. Le choix de l’entreprenariat, c’est aussi prendre son propre destin en main, et s’assurer soi-même ses revenus ».