Mary’s Coffee Shop ouvre sa première franchise à Lyon
L’enseigne stéphanoise de coffee shop vient de signer son premier contrat de franchise. Mary’s Coffee Shop devrait ouvrir à Lyon en février 2018.
Marys’ Coffee Shop Terreaux : un emplacement idéal
pour la 1ère franchise lyonnaise
Le premier réseau de coffee shop de la Loire part à l’assau de la capitale des Gaules ! Forte de trois établissements à Saint Etienne, l’enseigne Mary’s Coffee Shop s’apprête en effet à ouvrir son premier coffee shop en franchise à Lyon. C’est sur la place des Terreaux, face à l’entrée du parking que Jean-Louis Brugneaux, le nouveau franchisé, a choisi de s’implanter. Un emplacement idéal en plein cœur du centre ville, qui devrait permettre au réseau de rapidement séduire la clientèle lyonnaise !
Et le réseau, ouvert à la franchise depuis l’an dernier, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. L’ambition de Mary’s Coffee Shop est en effet de s’étendre dans toute la région Auvergne-Rhône-Alpes afin de proposer ses spécialités à base de chocolat ou de café au plus grand nombre. « Avec cette implantation au cœur de la ville des Lumières, nous souhaitons en faire la vitrine de notre réseau de franchise », note le réseau dans un communiqué adressé à l’occasion de l’annonce de l’ouverture de cette première franchise lyonnaise. Et de préciser que Mary’s Coffee Shop a « comme objectif l’ouverture de futures boutiques dans d’autres grandes villes de France ».
Un réseau de coffee shop 100% français qui souhaite se développer largement
Les recrutements de créateurs d’entreprise souhaitant ouvrir un coffee shop en franchise aux côtés de cette jeune enseigne stéphanoise se poursuivent dans toute la région. Aurélien Camps et sa mère, Marie Delolme, qui ont ouvert leur premier établissement en 2011 dans le quartier Tréfilerie, à Saint-Etienne, peuvent compter sur la solidité de leur concept et la notoriété grandissante de l’enseigne pour convaincre de nouveaux entrepreneurs.
Leurs trois boutiques (la seconde a ouvert rue Léon Nautin au printemps 2014 et dans les galeries Dorian, où se trouvait la Fnac jusqu’alors, en décembre 2015) ne désemplissent pas et les consommateurs stéphanois ne boudent pas leur plaisir. Reste donc désormais à séduire de nouveaux créateurs d’entreprise souhaitant transposer le concept dans d’autres villes. Et cela ne devrait pas poser trop de probème si l’on en croit les deux associés qui, interviewés par le quotidien régional Le Progrès, expliquent qu’ils espèrent « doubler le réseau l’année prochaine et passer à six ou sept boutiques ! »