« Nous nous retrouvons tous une fois par semaine en visio-conférence afin d’échanger et d’écouter les actions actuelles et à venir du franchiseur», David Courillau
Gérants d’un point de vente BCHEF à Montivilliers (Seine-Martime) depuis cinq mois, Jana et David Courrillaud ont dû se conformer aux mesures gouvernementales en fermant leur magasin afin de limiter la propagation du coronavirus. Une situation complexe pour le couple de franchisés, qui peut néanmoins compter sur le soutien de leur franchiseur.
BCHEF
Cinq mois après l’ouverture de leur point de vente, Jana et David Courrillaud, comme tous les autres membres du réseau, ont dû fermer leur magasin en raison de l’épidémie du coronavirus. Une situation inédite qui a vite fait place à de nombreuses interrogations comme l’explique David Courrillaud : « nous avions déjà vu notre activité décroître durant la semaine précédente et notre structure composée de 7 salariés ainsi que de ma femme et moi-même sentions bien une certaine crainte s’installer auprès de notre clientèle » souligne ce dernier, avant de poursuivre : « cette situation est compliquée physiquement de part une inactivité imposée mais surtout psychologiquement : quand et comment se fera le déconfinement ? Comment rebondir ? Beaucoup d’interrogations sans réponses se présentent à nous… »
BCHEF soutient ses franchisés
Mais heureusement pour ces derniers, le réseau BCHEF a su prendre les devant très rapidement pour rassurer ses franchisés en leur communiquant son point de vu, et les informer sur les différentes aides à solliciter, qui sont pour leur part la demande de chômage partielle pour les employés, ainsi que pour les franchisés le fond de solidarité à destination des entreprises. « Le franchiseur et son équipe sont à l’écoute des cas particuliers, des remontées ou expériences que chaque franchisé a pu rencontrer dans ses démarches et les conseils qui en résultent » rappelle David Courrillaud, « de plus, nous nous retrouvons tous une fois par semaine en visio-conférence afin d’échanger et d’écouter les actions actuelles et à venir que le franchiseur et son équipe étudient afin de passer cette période de confinement et les actions à mener pour rebondir ensuite. La tête de réseau s’est organisée en effectif réduit pour rester toujours joignable et très réactive comme à leur habitude », précise ce dernier.
« Cette crise est forcément difficile pour les indépendants, mais tant de vies humaines sont en jeu! »
Pour l’instant épargnés par des conséquences trop brutales sur leur activité, Jana et David restent toutefois très lucides sur le dénouement de cette crise sanitaire, et sur la reprise à venir : « nous avons la chance que notre bailleur ait purement annulé notre loyer pour la période du 15 mars au 15 avril, mais qu’en sera-t-il pour la suite ? De plus, avant de commencer notre nouvelle aventure avec BCHEF, nous avons 20 ans d’expériences en tant que restaurateurs indépendants et nous n’avons pas réinvesti l’ensemble de nos capitaux dans la création de notre nouveau restaurant, ce qui nous permet de pouvoir passer cette période difficile même si c’est à fonds perdus » explique David Courrillaud, qui poursuit : « cette crise est forcément difficile pour les indépendants, mais tant de vies humaines sont en jeu ! Alors oui, notre secteur économique redémarrera, mais il va falloir du temps et c’est là où il va falloir que tout le monde s’unisse. Et si certains en ont bien conscience, ce n’est pas le cas de tous et en particulier de beaucoup de bailleurs… Restons unis et allons de l’avant cela sera notre force ! ».
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