Bureau Vallée accélère ses engagements pour réduire son empreinte carbone
Suite à son dernier bilan carbone, Bureau Vallée, leader sur le marché des fournitures de bureau et de la papeterie pour les professionnels et le grand public, renforce ses actions afin de réduire encore plus son impact environnemental. L’enseigne agit déjà pour encourager les produits issus de l’économie circulaire et diminuer l’empreinte de ses produits, grâce à la vente de produits reconditionnés et en vrac. Les émissions évitées ont augmenté de 26% entre 2018 et 2020 et l’enseigne se mobilise pour réduire de 50% ses émissions d’ici 2030.
BUREAU VALLEE
65% des empreintes carbones concentrées dans 5 sous-familles
Avec l’accompagnement du cabinet ESPERE, Bureau Vallée a calculé son bilan Carbone® (exercice 1er avril 2020-31 mars 2021). Le périmètre concerné est celui de ses magasins implantés en France métropolitaine, soit 82% de ses magasins. Les émissions induites par la fabrication et le transport de l’intégralité des produits vendus sur l’année ont été calculées, tout comme les émissions des magasins et du siège social.
Principaux enseignements :
- En 2020/2021, les activités de Bureau Vallée ont engendré 72.673 tonnes de CO2e soit l’équivalent de l’empreinte carbone annuelle de 8 075 habitants en France
- Les produits vendus représentent 90% des émissions
- Dans les produits vendus, les cinq sous-familles les plus impactantes sont les imprimantes jet d’encre, papier blanc, imprimantes laser, PC portables et fauteuils. Elles représentent 65% des émissions des produits vendus
- Cependant grâce à la vente de produits reconditionnés et en vrac, les émissions évitées augmentent de 26% entre 2018 et 2020
- Entre 2018 et 2020 la croissance du chiffre d’affaires France est de 27%.
Afin de minimiser encore plus l’empreinte environnementale de l’enseigne, cette dernière a déjà mis en place des actions et souhaite en accélérer certaines :
- Elle travaille actuellement à une refonte de sa notation environnementale (en place depuis 2009) pour y intégrer l’empreinte carbone des produits
- Elle mise sur la production de fournitures de bureau bas carbone. Bureau Vallée propose une nouvelle gamme de fournitures à base de matériaux recyclés et fabriqués en France, baptisée « Jet Up Green »
- Elle mise aussi sur l’accélération de la vente de matériel reconditionné et en vrac. L’enseigne a, en effet, été pionnière sur la vente en vrac et a été́ l’un des 1ers acteurs sur le reconditionnement de produits high-tech, avec les imprimantes, les disques durs, puis les ordinateurs et les tablettes et aujourd’hui la téléphonie mobile. Les produits reconditionnés génèrent aujourd’hui près de 20% du chiffre d’affaires sur l’informatique, et sont en augmentation par rapport à 2021
- Elle souhaite accélérer la réparation et le reconditionnement en local de matériel informatique. Cette initiative est déjà déployée dans quelques magasins.
« A plus long terme, c’est une véritable transformation de modèle économique qu’il s’agira d’effectuer avec une transition du neuf vers le circulaire (2nde main, reconditionné, location). Réduire l’empreinte carbone des produits neufs fait également partie des objectifs », précise Adrien Peyroles, directeur général de Bureau Vallée.
Amboise : le premier magasin 100% éco-conçu du réseau Bureau Vallée
Les franchisés Bureau Vallée sont sensibilisés de longue date à la réduction de l’empreinte carbone de leurs magasins et ont déjà mis en place diverses actions dans ce sens (éclairage LED, panneaux solaires, tri des déchets…autres).
L’idée de l’enseigne est d’aller toujours plus loin en innovant et en investissant dans les projets avant-gardistes. Ainsi elle a soutenu dès le début l’idée du premier magasin bas carbone et positif proposé par Olivier Lepelleux, franchisé du magasin Bureau Vallée d’Amboise.
Tout a été pensé et réfléchi pour réduire l’impact environnemental de son point de vente, de la charpente en lames encollées et isolation en laine de roche doublée à la toiture recouverte de panneaux solaires, en passant par le système de ventilation naturelle pour limiter la climatisation ou l’installation de deux grands skydômes pour une luminosité maximale tout au long de la journée.
« L’idée est d’étendre ce modèle au reste du réseau afin d’élargir le cercle vertueux de la croissance responsable », souligne Adrien Peyroles.
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