« L’envie d’être chef d’entreprise a toujours été présente mais il fallait trouver LE bon concept », Nadia (Chô Chaï Genève)

Pouvez-vous vous présenter rapidement et revenir sur votre parcours professionnel ?

Mon parcours professionnel s’est toujours inscrit dans le domaine de l’Horeca [secteur de l’hôtellerie, de la restauration et des cafés, Ndlr], depuis mes premiers emplois étudiants dans des hôtels, restaurants et cafés, jusqu’à mon expérience dans l’événementiel en tant qu’employée, puis dans la coordination d’événements en Suisse. L’envie d’être aux commandes a toujours été présente, mais il fallait trouver le bon concept.

Pourquoi avez-vous choisi d’ouvrir un restaurant Chô Chaï ?

Chô Chaï est pour moi ce combo parfait. Ce qui m’a d’abord attirée, ce sont les chiffres et aussi que je suis tombée amoureuse des couleurs, de la déco et de l’ambiance tellement Bangkok et authentique qui représentent assez bien les souvenirs d’un voyage en Thaïlande. En effet, il est crucial de faire les bons choix, surtout lorsqu’il s’agit d’un investissement aussi important à mon niveau.

Ensuite, l’aspect professionnel de la franchise et son savoir-faire dans tous les domaines, de l’emplacement à l’installation des équipements en cuisine en passant par l’aspect visuel, ont confirmé mon choix. Chô Chai prend en charge tous les aspects, ce qui est très rassurant pour un premier lancement.

Quels éléments vous ont particulièrement séduit par rapport à la concurrence ?

J’ai visité plusieurs salons de la franchise et rencontré de nombreuses personnes intéressantes mais avec le recul et un temps assez long pour une bonne réflexion, ce qui a fait la différence, c’est le sentiment d’appartenance à une famille chez Chô Chaï. Tout le monde, du bureau aux personnes qui travaillent à l’atelier, est très investi. Cette proximité humaine a pesé dans la balance. 

A quelques jours de l'ouverture de votre restaurant, quels sont vos sentiments ?

À l’approche de l’ouverture, le stress augmente, mais je suis confiante dans la capacité de l’équipe Chô Chaï à gérer les imprévus.

Qu’attendez-vous du réseau pour vous soutenir dans le développement de votre activité ?

Je suis convaincue que le réseau Chô Chaï ne pourra que m’apporter du positif. Être la première en Suisse, et particulièrement à Genève, est une nouveauté pour nous tous. Être soutenue par une équipe qui comprend nos craintes, nos lacunes et nos peurs fait toute la différence. Notre objectif commun est de faire briller Chô Chaï en Suisse, ce qui constitue un défi de taille.

Comment vous voyez-vous dans cinq ans ?

Dans cinq ans, j’espère toujours être avec Chô Chaï. Ce projet, personnel et collectif, est devenu une aventure que nous avons conçue et entreprise ensemble. C’est la Suisse, avec Genève connue mondialement, qui rejoint la grande famille Chô Chaï.

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