Franchises courtage : Des réseaux de courtage en quête de partenaires - Partie 4
Portés par une demande croissante, les réseaux de courtage survolent la crise et, loin de vouloir réduire la voilure, entendent au contraire profiter de ce contexte favorable pour se développer.
C’est le cas du réseau de courtage en travaux CTSO. Deux ans après avoir démarré la duplication de son concept en franchise, il compte déjà 45 partenaires en France et dans les Dom-Tom. Objectif affiché : une centaine d’agences d’ici la fin d’année
Dans ce réseau, on peut démarrer avec 10 000 euros. « C’est suffisant pour financer sa publicité et se sortir un salaire les trois premiers mois, en attendant que l’argent commence à rentrer », précise Olivier Paret, le fondateur. Côté perspectives, pas de souci à se faire. Sur la base de 2 chantiers vendus par mois, d’un montant de 30 000 à 40 000 euros chacun, ce qui est raisonnable, le franchisé peut assurer 60 000 à 90 000 euros de chiffre d’affaires dès la première année.
Chez Home Courtage, le spécialiste du courtage en construction, qui a démarré son développement en franchise en mai 2009 et compte 3 franchisés, on table sur une demi-douzaine d’ouvertures d’ici la fin 2010. « Pas besoin d’être issu du métier pour rentrer chez nous, explique Nicolas Buet, ce qu’il faut c’est être organisé, et aimer le domaine de la construction. Quelqu’un qui a fait construire son logement lui-même possède les bases pour aborder le métier sereinement, grâce à la formation que nous lui dispensons. » Côté chiffre d’affaires, le franchisé peut tabler sur 150 000 euros dès la deuxième année.
Le leader du marché, Illico Travaux, entend lui aussi maintenir son rythme de développement. Avec 150 franchisés au compteur à ce jour, il ambitionne 350 agences à terme. La formule est souple puisqu’on peut démarrer en travaillant de chez soi la première année, avec un fax, un téléphone portable et un ordinateur. De quoi se constituer une base de clientèle avant de recruter une assistante et d’ouvrir une agence la deuxième année pour développer l’activité.
Du côté des courtiers en crédits, on ne cache pas non plus ses ambitions. In&Fi Crédits, qui compte aujourd’hui 120 agences, ambitionne un fort développement sur les 5 ans à venir, avec en ligne de mire un objectif de 350 agences. Profil recherché : Un entrepreneur motivé, doté d’une solide fibre commerciale et managériale. « Il n’est pas nécessaire d’être issu du métier car nous formons nos franchisés de A à Z », précise Patrice Matagne. La clé du succès ? « Elle réside avant tout dans la capacité du franchisé à constituer un réseau de prescripteurs et d’apporteurs d’affaire sur son secteur ».
Chez Presse Taux, on est également ouvert aux candidats en reconversion issus d’autres métiers que ceux du financement. Mieux vaut quand même savoir manier les chiffres, monter des dossiers, et lire un bilan si l’on veut pouvoir conseiller la clientèle professionnelle. Pour le reste, « on dispense une formation théorique et pratique qui donne au franchisé toutes les clés pour exercer le métier », explique Alain Darnoncour, en charge du développement. L’investissement global pour intégrer son réseau est de 65 000 euros, avec à la clé un potentiel de chiffre d’affaires en année 2 de 400 000 euros.
Au sein du réseau La Hénin, en revanche, on cherche des gens ayant une expérience préalable de l’immobilier et du financement. « Le candidat type est un agent immobilier, un promoteur, un constructeur de maison individuelle, qui souhaite évoluer vers le métier de courtier », précise Véronique Lefèvre. Compétences requises : bien connaitre le marché local et avoir un réel tempérament commercial. Solidement implanté auprès de la clientèle, avec 120 agences, le réseau La Hénin entend resserrer son maillage du territoire, avec un objectif à terme de 150 à 160 agences. Avis aux amateurs !
Thibault, Journaliste toute-la-franchise ©
C’est le cas du réseau de courtage en travaux CTSO. Deux ans après avoir démarré la duplication de son concept en franchise, il compte déjà 45 partenaires en France et dans les Dom-Tom. Objectif affiché : une centaine d’agences d’ici la fin d’année
Dans ce réseau, on peut démarrer avec 10 000 euros. « C’est suffisant pour financer sa publicité et se sortir un salaire les trois premiers mois, en attendant que l’argent commence à rentrer », précise Olivier Paret, le fondateur. Côté perspectives, pas de souci à se faire. Sur la base de 2 chantiers vendus par mois, d’un montant de 30 000 à 40 000 euros chacun, ce qui est raisonnable, le franchisé peut assurer 60 000 à 90 000 euros de chiffre d’affaires dès la première année.
Chez Home Courtage, le spécialiste du courtage en construction, qui a démarré son développement en franchise en mai 2009 et compte 3 franchisés, on table sur une demi-douzaine d’ouvertures d’ici la fin 2010. « Pas besoin d’être issu du métier pour rentrer chez nous, explique Nicolas Buet, ce qu’il faut c’est être organisé, et aimer le domaine de la construction. Quelqu’un qui a fait construire son logement lui-même possède les bases pour aborder le métier sereinement, grâce à la formation que nous lui dispensons. » Côté chiffre d’affaires, le franchisé peut tabler sur 150 000 euros dès la deuxième année.
Le leader du marché, Illico Travaux, entend lui aussi maintenir son rythme de développement. Avec 150 franchisés au compteur à ce jour, il ambitionne 350 agences à terme. La formule est souple puisqu’on peut démarrer en travaillant de chez soi la première année, avec un fax, un téléphone portable et un ordinateur. De quoi se constituer une base de clientèle avant de recruter une assistante et d’ouvrir une agence la deuxième année pour développer l’activité.
Du côté des courtiers en crédits, on ne cache pas non plus ses ambitions. In&Fi Crédits, qui compte aujourd’hui 120 agences, ambitionne un fort développement sur les 5 ans à venir, avec en ligne de mire un objectif de 350 agences. Profil recherché : Un entrepreneur motivé, doté d’une solide fibre commerciale et managériale. « Il n’est pas nécessaire d’être issu du métier car nous formons nos franchisés de A à Z », précise Patrice Matagne. La clé du succès ? « Elle réside avant tout dans la capacité du franchisé à constituer un réseau de prescripteurs et d’apporteurs d’affaire sur son secteur ».
Chez Presse Taux, on est également ouvert aux candidats en reconversion issus d’autres métiers que ceux du financement. Mieux vaut quand même savoir manier les chiffres, monter des dossiers, et lire un bilan si l’on veut pouvoir conseiller la clientèle professionnelle. Pour le reste, « on dispense une formation théorique et pratique qui donne au franchisé toutes les clés pour exercer le métier », explique Alain Darnoncour, en charge du développement. L’investissement global pour intégrer son réseau est de 65 000 euros, avec à la clé un potentiel de chiffre d’affaires en année 2 de 400 000 euros.
Au sein du réseau La Hénin, en revanche, on cherche des gens ayant une expérience préalable de l’immobilier et du financement. « Le candidat type est un agent immobilier, un promoteur, un constructeur de maison individuelle, qui souhaite évoluer vers le métier de courtier », précise Véronique Lefèvre. Compétences requises : bien connaitre le marché local et avoir un réel tempérament commercial. Solidement implanté auprès de la clientèle, avec 120 agences, le réseau La Hénin entend resserrer son maillage du territoire, avec un objectif à terme de 150 à 160 agences. Avis aux amateurs !
Thibault, Journaliste toute-la-franchise ©
Franchises courtage : Le marché du courtage survole la crise - Introduction
Franchises courtage : Le courtage en travaux : une formule 100 % gagnant-gagnant - Partie 1
Franchises courtage : Le courtage en crédit : des financements sur mesure pour le client - Partie 2
Franchises courtage : Un marché stimulé par la crise - Partie 3
Franchises courtage : Des réseaux de courtage en quête de partenaires - Partie 4
Franchises courtage : Le courtage en travaux : une formule 100 % gagnant-gagnant - Partie 1
Franchises courtage : Le courtage en crédit : des financements sur mesure pour le client - Partie 2
Franchises courtage : Un marché stimulé par la crise - Partie 3
Franchises courtage : Des réseaux de courtage en quête de partenaires - Partie 4