Rodney Morvan est franchisé Ecolave® à Dijon. Dix-huit mois après le lancement de son activité, il explique à Toute la Franchise les raisons qui l’ont poussé à choisir ce réseau et ses perspectives de développement pour l’avenir.
Toute la Franchise : Comment avez-vous rejoint le réseau Ecolave® ?
Rodney Morvan : J’étais responsable d’une agence de location de matériel et il y avait un manque évident de volonté de la part de ma hiérarchie de me faire évoluer. J’ai donc choisi de partir pour créer ma propre société. Au départ, je ne pensais pas me lancer dans le secteur du lavage écologique. Mais un jour, un ami est rentré de week-end avec une voiture comme neuve ; il avait fait appel à une société spécialisée. Je me suis dit que c’était ce que je voulais faire, et j’ai commencé à me renseigner sur les entreprises qui existaient. Aucune ne me plaisait vraiment jusqu’à ce que je tombe sur Ecolave®. Le nom a fait tilt et je les ai contactés tout de suite !
TLF : Pourquoi avoir privilégié le système de franchise ?
R.M. : D’abord pour des raisons financières ! Pour entrer dans le réseau Ecolave®, j’ai fait un prêt de 24.000 €. Si j’avais été tout seul, c’était un investissement de 200.000 € minimum… Là, en plus, le DIP [document d’information pré-contractuel, qui doit être remis par le franchiseur avant la signature du contrat, Ndlr] est très complet. Ça aide beaucoup pour aller voir la banque. J’ai bien senti que le banquier était rassuré quand je le lui ai montré.
Et le réseau m’apporte beaucoup dans le sens où il a tout fait avant moi : les supports, le concept, la communication, tout est en place. Au lancement de votre activité, par exemple, vous arrivez avec votre camionnette vide, et quand vous repartez, elle est pleine. Où trouveriez-vous une telle aide en dehors de la franchise ?
TLF : Avez-vous bénéficié d’une formation avant de démarrer votre activité ?
R.M : Bien sûr ! On a eu une formation de cinq jours. Les trois premiers sont consacrés à la théorie. Il y a une grosse partie sur les méthodes Ecolave® pour bien vendre son travail, et puis des modules consacrés à la découverte des produits, avec leur composition et leur utilisation. On a aussi une formation à la comptabilité.
Les deux derniers jours, c’est la pratique sur le terrain. On nous met chez des vrais clients pour nettoyer leurs voitures, et là, croyez-moi, on est tout de suite dans le bain !
TLF : Diriez-vous que vous avez été bien encadré à vos débuts ?
R.M. : A mes débuts et encore maintenant, oui ! Au début, j’avais un coup de fil toutes les semaines pour voir si tout allait bien. C’était le cas, mais ça m’a fait du bien de me sentir si entouré. L’animation réseau est très importante chez Ecolave©. Tous les deux mois, par exemple, on a une visite de l’animateur, qui nous accompagne sur le terrain. C’est quelque chose que je trouve vraiment très bien et que j’apprécié énormément. A tel point que je pense souvent à ce qui se passera quand j’arriverai au terme de mon contrat de franchise de cinq ans. Si je ne poursuis pas avec le réseau, je perds tout le suivi, la communication, les produits,… Donc, j'en suis déjà arrivé à la conclusion que je resignerai avec Ecolave® à la fin de mon contrat !
TLF : Rencontrez-vous régulièrement d’autres franchisés du réseau ?
R.M. : On a une réunion annuelle qui réunit tout le réseau pendant trois jours. C’est l’occasion de tous se retrouver et d’échanger nos expériences. C’est un moment très agréable qu’on attend avec impatience : on n’a pas beaucoup de jours de vacances quand on est à son compte, alors cette réunion permet de décompresser… même si on travaille en même temps !
TLF : Avez-vous atteint les objectifs que vous vous étiez fixés ?
R.M. : J’ai fait une moyenne de 3.900 € HT de chiffre d’affaires depuis que j’ai commencé. Alors bien sûr, il y a eu des hauts et des bas, mais si on fait une moyenne, c’est vraiment bien pour un début. Je suis complètement dans mon prévisionnel, et ça me conforte dans mon choix d’esthétisme automobile. C’est un secteur porteur : les gens sont prêts à payer plus cher pour avoir des prestations de qualité et chez Ecolave®, c’est le cas ! Le résultat, c’est que je viens d’embaucher quelqu’un pour m’aider. Tout seul, je ne pouvais plus répondre à toutes les demandes. Je ne pensais vraiment pas que ce serait le cas si vite…
TLF : Quels sont vos objectifs pour la suite ?
R.M. : Si je continue à me développer comme ça, j’embaucherai peut-être une autre personne. Mon but est clair : je veux manger tout le marché de Dijon !
Sandrine Cazan, Toute la Franchise©
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