INTEGRATION :
Toute-la-franchise.com : Pouvez-vous vous présenter ?
Pascal LAURENCE : Laurence Pascal, gérant, précédemment technico-commercial dans l’agencement de dressing pour un fabricant (je ne travaillais pas avec les particuliers mais avec les revendeurs), je cherchais à me mettre à mon compte dans le domaine de la maison.
TLF : Comment êtes-vous entré en contact avec votre enseigne ?
P.L. : Suite à une recherche personnelle dans le domaine de la franchise, j’ai contacté directement Cuisines Raison car le concept me convenait parfaitement.
TLF : Comment s’est déroulée la période entre votre premier contact et vos débuts ? Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ?
P.L. : Je suis parmi les plus anciens et j’ai pu avoir une formation « métier » adaptée, formation qui a fortement évolué depuis. La création dans le cadre d’une franchise est pour moi une évidence car cela permet d’adhérer à un concept déjà éprouvé. Cela permet également de faire partie d’un réseau et d’avoir un support, notamment sur les premières années d’activité.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
P.L. : Tout a fait, hormis le nombre de franchisé qui a évolué moins vite que prévu.
TLF :Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ? Si oui, pourquoi avoir choisi cette enseigne ?
P.L. : Oui, mais les autres concepts nécessitaient des investissements plus lourds liés à l’exploitation d’un magasin.
TLF :Quels sont les services que vous apporte votre franchiseur au démarrage de votre activité ?
P.L. : La formation de base, les outils informatiques, les outils de gestion et de suivi de son activité, les outils de communication et le suivi personnel de démarrage.
TLF : Etiez-vous de la « profession » avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
P.L. : je travaillais dans le secteur du bâtiment (placard) en B to B. J’ai changé pour une profession qui m’attire et qui est proche de mon ancien métier.
ACTIVITE :
TLF : Avez-vous besoin de votre franchiseur dans le cadre de votre activité ? Répond-il à votre attente ?
P.L. : Oui très régulièrement, et il essaye d’apporter une réponse à chaque fois.
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ?
P.L. : Très bonnes relations avec l’ensemble des franchisés.
TLF : L’esprit « réseau » est il réellement effectif ?
P.L. : Tout à fait, car si on a un besoin, un souci, il est tout à fait possible de s’adresser aux autres et ça marche. De plus pour les nouveaux arrivants, avoir un « ancien » à coté permet d’avoir une sorte de parrain à proximité.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
P.L. : A l’époque (2003) pas tout à fait. Mais cela a complètement changé dans ce domaine et nous avons également de la formation continue sur les outils que nous utilisons.
TLF : En termes de Chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
P.L. : Je termine mon 4è exercice, et le CA est conforme à ce que j’attends.
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
P.L. : Les actions préconisées par la franchise : publicité, développement de réseau, parrainage….
TLF : Avec le recul, le concept est il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
P.L. : Un concept totalement atypique et tout à fait en phase avec l’attente d’une grande partie des clients : concepteur à domicile pour «faire mieux sans dépenser plus »
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle avec votre vécu sur le terrain ?
P.L. : Oui, reste à développer les outils de comparaison et d’étude de concurrence.
TLF : Auriez vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
P.L. : Je ne pense pas, ou cela aurait pris beaucoup plus de temps.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
P.L. : Oui
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
P.L. : De ne pas tarder à s’engager sur ce créneau porteur, qui avec cette formule, permet de créer son activité sans gros risques financiers. Le plus gros investissement est un investissement de temps et de bonne volonté !
