Formation et cours d'anglais : zoom sur le métier de Phileas World
Depuis 15 ans, Phileas World exerce son savoir-faire dans le domaine de la formation à l'anglais. Mathieu Sari, à l'origine du concept, nous explique plus précisément l'activité de ses centres.
Spécialiste de la formation professionnelle et des cours d’anglais pour adultes, le réseau Phileas World se développe sous la forme du partenariat dans toute la France, certains centres donnant également des cours aux enfants et dans d’autres langues telles que le français langue étrangère (FLE), l'espagnol, le russe, etc.
Le panier moyen d’une formation de quatre à six mois se situe autour de 2000€, une somme qui peut évoluer en fonction des besoins, demandes et objectifs de chaque stagiaire. Néanmoins, "notre métier est réglementé et financé par l’Etat dans le cadre de la formation professionnelle, CPF/DIF. Cela veut dire que la plupart de nos stagiaires ont un budget formation dont ils disposent comme bon leur semble et ne paient pas personnellement notre service" précise Mathieu Sari, qui a créé le concept en 2005.
Cette règlementation signifie de plus que chacun des centres Phileas World doit obtenir une certification lui permettant d’exercer son activité, une démarche pour laquelle l'enseigne accompagne ses partenaires.
Côté contenus, "nos formations sont généralement composées de modules afin d’être complètes, interactives, variées et ludiques. L’objectif étant de progresser sans s’ennuyer" explique Mathieu Sari. Ainsi, ces formations comprennent généralement :
- Des cours en face à face en centre, au domicile ou en entreprise
- Des cours en visioconférence
- Des activités en e-learning
- Un abonnement à un magazine
- Une certification (obligatoire dans le cadre du CPF)
Pour en savoir davantage sur le concept, son fonctionnement et ses atouts, retrouvez sa fiche personnalisée sur les pages de Toute la Franchise, et demandez sa documentation pour être le prochain à ouvrir un centre Phileas World.
>> Lire aussi : « J’ai pu me rendre compte du potentiel et du sérieux de la franchise Phileas World », Karine Dezest, Bayonne