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Énergies renouvelables : un marché toujours porteur

Des arguments forts pour les enseignes

Publié le

Mis à jour 15/02/2019

En janvier 2018 étaient publiés les résultats d'un sondage OpinionWay pour Qualit'EnR autour du thème « les Français et les énergies renouvelables ». Quelques semaines plus tard, l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la Maitrise de l'Énergie) publiait elle aussi les résultats de sa propre étude annuelle « Les Français et l’environnement ». Ces deux documents instructifs pour les réseaux de franchise spécialistes des énergies nouvelles démontrent que les EnR ont plus que jamais le vent en poupe. « Les Français appellent de leurs vœux une transition écologique portée par une énergie verte, qu’ils associent à de nombreux atouts pour leurs foyers » déclare ainsi André Joffre, Président de Qualit’Enr, en édito de la dernière étude. Comparons donc les résultats de ces deux mêmes enquêtes, à 6 ans d’intervalle.

Les Français et les énergies renouvelables en 2018

Les Enr ont toujours la cote !

L'état du marché des énergies renouvelables en France en 201996% des Français font confiance à au moins une énergie renouvelable, au premier rang desquelles les pompes à chaleur, qui recueillent la confiance de 81% des sondés. C’est l’un des grands enseignements de l’étude OpinionWay pour Qualit’Enr. Ils sont en effet une écrasante majorité à trouver à ces énergies de nombreux avantages pour leur foyer (respect de l’environnement, économies, confort, etc.).

Mais surtout, les Français sont massivement favorables au développement de ces énergies renouvelables, loin devant le nucléaire (qui n’obtient que 43% d’intentions favorables, contre 90% par exemple pour le solaire thermique, 82% pour le photovoltaïque, ou encore 70% pour le bois-énergie).

Par ailleurs, près de 90% des Français préfèreraient consommer leur propre électricité photovoltaïque plutôt que de la vendre au réseau ! Les Français sont donc favorables à l’autonomie énergétique au niveau micro-local !

L’état du marché des énergies renouvelables

Fin 2017, 35% des Français étaient équipés d’un système valorisant les énergies renouvelables. Sans surprise, le bois arrive en tête avec 13% des foyers équipés. Les pompes à chaleur arrivent juste derrière avec 9% de foyers équipés (5% pour les panneaux photovoltaïques, 4% pour les chauffe-eau solaires et les chaudières bois et 3% pour le chauffage solaire combiné). Et surtout, près de 70% des Français estiment que les énergies renouvelables constituent l’investissement le plus pertinent pour leur foyer en 2018 !

Les enseignes spécialisées dans les énergies renouvelables disposent ainsi d’un potentiel de développement considérable puisque 65% des foyers français restent à équiper et son massivement attirés par ces solutions. Cependant, le coût des travaux reste le principal frein pour sauter le pas et la disparition de certaines aides n’est pas de nature à les y encourager. Les solutions de financement apparaissent donc comme un des leviers importants pour poursuivre le développement des installations valorisant les énergies renouvelables.

Les résultats de l’enquête en 2012

Alors que le grand débat sur le nucléaire suite à l'incident de Fukushima faisait rage, que la CRE (Commission de régulation de l’énergie) venait d'annoncer une hausse probable du prix de l’électricité de l’ordre de 30 % d’ici 2016, et que les prix des énergies fossiles s'envolaient, les Français s'inquiétaient.

Une inquiétude d'autant plus justifiée que 2012 s'annonçait d'ores et déjà marquée par la crise et de nécessaires arbitrages ! Certes, les temps étaient à la restriction, mais sur le terrain du chauffage, les Français se sentaient pour le moins pieds et mains liés.

S'il est toujours possible de réduire la température des pièces à la maison, de remettre au goût du jour son isolation et d'enfiler un pull de plus, il reste difficile de se passer totalement de chauffage en hiver et d'eau chaude pour le bain des enfants, d'un minimum d'éclairage et de machines à laver, du confort moderne autrement dit !

Autant dire que les alternatives pour alléger la facture énergétique sont scrutées à la loupe par bon nombre de Français. C'est dans ce contexte qui a toutes les chances de devenir de plus en plus délicat dans les prochaines années, qu’OpinionWay a sondé les Français pour Qualit'EnR. 1 mois plus tard, l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la Maitrise de l'Énergie) publiait elle aussi les résultats de son enquête sur les Français et les énergies renouvelables.

Ce qui ressort de ces deux enquêtes ? La promesse d'un mode de chauffage économique attire de plus en plus l'attention malgré les réductions des incitations fiscales (coup de rabot sur les taux du crédit d’impôt pour les équipements en EnR, baisse du tarif d'achat photovoltaïque) et le frein du coût de l'installation.

Un intérêt croissant

A la question « Depuis un an, diriez-vous que vous vous intéressez plus, autant ou moins aux énergies renouvelables ? », la réponse des sondés Ifop est claire. 25 % s'y intéressent plus, 68 % autant et 7 % seulement s'y intéressent moins.

L'actualité chargée du moment est-elle impactante sur l'intérêt des Français ? Assurément oui mais bien plus encore que le débat autour du nucléaire, c'est bien la hausse du coût de l'énergie qui est déterminant. Dans le détail, parmi ceux qui déclarent s’intéresser « plus » aux énergies renouvelables (soit 25% de l’échantillon), 93 % estiment que le coût des énergies a un impact déterminant sur leur perception des EnR (58 % un impact très important - 35 % un impact assez important).

Le débat autour du nucléaire récolte impacte quant à lui de façon très importante 33 % des sondés et 42 % estiment que l'impact est assez important. Quant aux modifications des politiques publiques en faveur des EnR (crédit d'impôt, éco prêt, tarif d'achat photovoltaïque, etc), l'impact est jugé très important pour 33 % des sondés et assez important pour 41 % des sondés. Le même constat est dressé par l'enquête de l'Ademe. « La notoriété spontanée des énergies renouvelables tend à s’étoffer : Si 86 % des français citent au moins une énergie renouvelable spontanément (85 % en 2010), ils citent en moyenne 2,6 sources contre 2,2 en 2010 ». La progression sensible du nombre d’énergies spontanément citées pour une production à domicile (2,8 en moyenne contre 2,2 en 2010), fait la part belle au solaire (83 % des citations), loin devant l’éolien (52 %) et la géothermie (54 %).

Clairement, l'idée d'une alternative renouvelable pour le chauffage à la maison fait son chemin.

La confiance dans les EnR gagne du terrain

A la question « d'une manière générale, faites-vous confiance ou pas confiance dans les énergies renouvelables », les sondés déclarent à 81 % qu'ils ont confiance dans l'insert bois (33 % tout à fait, 48 % plutôt confiance), à égalité avec le système solaire combiné chauffage/eau chaude (27 % tout à fait, 54 % plutôt confiance) et la pompe à chaleur (26 % tout à fait, 55 % plutôt confiance).

Suivent la chaudière à bois dans l'échelle de la confiance (79 %), le chauffe-eau solaire (77 %), le poêle à bois (76 %) et les panneaux photovoltaïques (73 %).

Selon l'enquête Ifop, l'utilité des énergies renouvelables réside principalement dans le fait qu'elles sont respectueuses de l'environnement (92 % des avis favorables), qu'elles favorisent l'indépendance énergétique (87 % des avis favorables), qu'elles permettent de se sentir bien chez soi (85 % des avis favorables). Paradoxalement, le fait que les EnR permettent de faire des économies arrive loin derrière avec seulement 78 % des avis favorables (- 3 % par rapport à 2011). L'enquête de l'Ademe arrive peu ou proue aux mêmes conclusions. L'argument environnemental gagne du terrain et tend à se stabiliser à un niveau de citation élevé (supérieur à 80 %).

Dans le même temps, la perception des avantages économiques tend à baisser (52 % en 2010 contre 46 % en 2011). Le principal inconvénient perçu selon l'Ademe reste le coût (44 %) et notamment celui de l’installation (33 %), puis les nuisances sonores (16 % en hausse + 5 %) et esthétiques (13 % en baisse -7 %).

Des intentions d'équipements à la hausse

Le sondage Ifop a interrogé les Français sur leur intention de s'équiper en énergies nouvelles. Il ressort de cette étude que certains équipements ont plus le vent en poupe que d'autres.

Dans le détail, les intentions d'équipement donnent la préférence au panneaux photovoltaïques (14 % d'intention soit + 4 % par rapport à 2011), suivis du chauffe-eau solaire (13 % d'intention en 2012 + 3 % par rapport à 2011), la pompe à chaleur (12 % d'intention en 2012, + 4 % par rapport à 2011) et le système solaire combiné chauffage/eau chaude (12 % d'intention en 2012, + 4 % par rapport à 2011).

Les équipements qui récoltent le moins d'intention sont le poêle à bois (9 % d'intention en 2012, +1 % par rapport à 2011) et la chaudière à bois (7 % d'intention en 2012, + 1 % par rapport à 2011). Au total, 31 % des sondés ont l'intention de s'équiper d'au moins un déjà installé est de 16 % pour l'insert bois, 11 % pour le poêle à bois, 9 % pour la pompe à chaleur, 5 % pour les panneaux photovoltaïques, 3 % pour le chauffe eau solaire et le système solaire combiné chauffage/eau chaude, 2 % pour la chaudière à bois.

Pour l'Ademe, 37 % des français ont investi dans les EnR ou envisageaient de le faire en 2011 (+ 11 % par rapport à 2010). Sur les 28 % de Français qui déclarent posséder un équipement, les principaux systèmes possédés sont les équipements pour bruler du bois. Le solaire progresse aussi à 32 % en 2011 (+ 4 % par rapport à 2010). L'Ademe relève que 13 % des Français déclarent envisager d’acquérir dans les 12 mois un équipement EnR parmi lesquels une installation solaire pour 55 % d’entre eux, un système à géothermie (12 %), un système bois (12 %), un système éolien (6 %). Les principales motivations exprimées par les français qui ont investi dans des EnR sont l’envie de faire des économies (46 %), l’envie de faire quelque chose pour la planète (33 %), l'envie d'un plus de confort et d'agrément (18 %).

Des freins d'équipement variables

Sachant que le coût de la facture en énergie du foyer est l'élément déterminant, l'Ifop a demandé quel est le sentiment aujourd'hui des sondés sur leur facture. Et là, la réponse est également très claire : 32 % estiment que le montant payé est très élevé et 58 % assez élevé.

Ces chiffres sont paradoxalement assez proches de ceux récoltés auprès des personnes dont la résidence principale est équipée en énergies renouvelables (32 % de très élevés et 56 % d'assez élevés).

Et les Français sont peu optimistes pour les deux prochaines années puisqu'ils estiment à 84 % que leur facture va augmenter (+ 5 % par rapport à la première salve d'enquête menée en février 2011). Pour les personnes dont la résidence principale est équipée en énergies renouvelables, la même inquiétude est pointée du doigt avec 80 % des personnes qui pensent que leurs factures va augmenter dans les deux prochaines années (+ 9 % par rapport à février 2011).

Pour limiter cette pression des coûts, les énergies renouvelables sont ressenties comme une aubaine mais des freins à l'équipement subsistent. Ces freins tiennent majoritairement pour l'Ifop au fait que les sondés ne sont pas propriétaires de leurs résidences principales (38 %), ou que leurs logements est en copropriété (11 %). L'autre grand frein est assurément le prix d'achat de l'équipement (32 %), suivi par le manque de place (18 %), le manque de rentabilité de l'investissement (14 %).

La baisse des aides et subventions n'est évoquée que par 8 % des sondés comme véritable frein à l'équipement. Pour l'Ademe, les principaux freins évoqués par les réticents sont quasiment les mêmes que pour l'Ifop à savoir : Les impossibilités/difficultés liées au type de logement/statuts d’habitation (30 %), le coût de l’installation des équipements (24 %), et les spécificités techniques ou contraintes esthétiques (13 %). L'analyse de ces freins par l'Ademe amène à poser quelques solutions pour améliorer la situation.

Ainsi, pour faciliter le passage à l’acte l'Ademe préconise de promouvoir la compétitivité économique des systèmes notamment en renforçant l'information des argumentaires prouvant la fiabilité et la performance des installations et en sécurisant la qualité des installations à travers la labellisation des artisans. L'hypothèse de la mise en place d'un contrôle technique pour faire garantir la qualité de l’installation est évoquée. Pour ce qui concerne l'aide au financement, l'Ademe préconise « une promotion plus importante et un accès facilité aux systèmes d’aides/ soutiens existants et l'élaboration/ promotion d’offres de financement simples permettant de raccourcir les délais de retour sur investissement ».

La confiance dans les installateurs augmente

Si ces dernières années les cas d'installateurs amateurs pas très sérieux ont fait du tort à la profession, il semble que les Français commencent à changer d'avis sur le professionnalisme des installateurs. Pour preuve, en février 2011, ils étaient 40 % à ne plutôt pas accorder leur confiance aux installateurs d'équipements énergétiques (8 % n'ayant pas du tout confiance). En 2012, les avis négatifs sont en perte de vitesse avec 33 % de plutôt pas confiants et 6 % de pas confiants du tout. Au total, les avis positifs ont fait un bond de 9 % en l'espace d'un an.

La confiance accordée se base principalement sur le critère du label qualité et de la qualification (73 % des sondés en 2012 contre 76 % en 2011), puis sur le conseil d'un proche (71 % des sondés en 2011 et 2012), les références de réalisations (69 % en 2012 contre 71 % en 2011), et la proximité géographique de l'installateur (47 % en 2012 contre 43 % en 2011).

Quelles leçons tirer pour la franchise ?

Pourquoi ouvrir une franchise d'énergies renouvelablesLes études de l'Ifop pour Qualit'EnR et BVA pour l'Ademe sont instructives pour les réseaux en franchise puisqu'elles permettent de pointer quelques arguments forts et de battre en brèche quelques idées reçues.

Parmi les arguments forts, le fait que la confiance accordée aille plus clairement vers des installateurs disposant d'un label qualité ou d'une qualification et de références de réalisations va dans le sens de la franchise. La proximité est aussi un argument non négligeable que les réseaux se doivent de renforcer encore.

Sachant que la prescription par un proche pèse lourd dans le choix final, la mise en place de système de parrainage déjà en place dans certains réseaux paraît une idée à développer très sérieusement.

L'autre grand enseignement de cette enquête tient à la nature des équipements en projet. Le solaire semble bien avoir le vent en poupe tout comme la pompe à chaleur. Le bois lui est plus orienté vers des équipements d'appoint plutôt que vers des chaudières. Du côté des arguments commerciaux à faire valoir aussi, les deux enquêtes apportent un éclairage intéressant.

Ainsi, pour les Français, cela va de soit que les EnR sont à valeur ajoutée écologiques mais la question de la rentabilité de l'équipement et de la réduction des coûts demanderaient plus de clarté pour être entendus à leur juste valeur et lever des freins puissants qui ralentissent l'acte d'achat. Du côté des idées reçues mises à mal, le poids supposé des aides et subventions dans l'acte d'achat semble bien ne pas avoir tant de conséquences que cela dans la décision finale. Plutôt une bonne nouvelle pour réseaux.

Et même si le secteur a enregistré une baisse d'activité ces derniers temps, les intentions d'équipement en hausse confirment que les énergies renouvelables sont bien encore un secteur porteur en 2012 ! La hausse galopante des énergies classiques et plus globalement la baisse du pouvoir d'achat portent le dynamisme du secteur. Et avec l'entrée en vigueur au 1er janvier 2013 de la nouvelle réglementation thermique (RT2012), le secteur devrait connaître une accélération importante sur les constructions neuves puisque la RT 2012 prévoit de diviser par 3 la consommation énergétique des constructions neuves !

Les réseaux à suivre en 2019

Les réseaux développés en franchise ou en concession sur les segments des énergies renouvelables sont dans souvent des multi-spécialistes (solaire, géothermie, solutions bois). Quelques réseaux développent également en parallèle des activités en lien avec l'économie d'énergie (isolation, rénovation, menuiseries...). Le plus souvent, les profils recherchés sont essentiellement commerciaux.

Abrico : Créé en 2006 puis lancé en franchise en 2009, ce réseau développe des solutions adaptées et personnalisées sur l'ensemble des problématiques de la rénovation (menuiseries, isolation, chauffage, solaire, pompe à chaleur...). Abrico compte actuellement 8 unités opérationnelles. L'apport personnel demandé est de 15 000 € (droit d'entrée 34 000 € - investissement global 48 000 € HT).

Côba Energies Renouvelables : Créé en 2003 et lancé en franchise en 2011, ce réseau développe une véritable expertise en solutions énergie verte (solaire photovoltaïque, solaire thermie, aérothermie, géorthermie, climatisation réversible et poêle à bois). Côba Energies Renouvelables compte actuellement 3 unités opérationnelles. L'apport minimum requis pour rejoindre le réseau est de 30 000 € (droit d'entrée 0 € - investissement global 110 000 €).

Sodeer : Créé en 2005 et lancé en franchise en 2007, ce réseau s'appuie sur un savoir-faire unique en franchise : la maison à énergie positive. Ces spécialités sont le chauffage (pompe à chaleur, poëles à bois), la production d'eau chaude (pompe à chaleur et solaire), la production d'électricité (photovoltaïque), l'isolation (laines écologiques) et la ventilation. Pour rejoindre ce réseau qui compte 30 concessionnaires, le candidat doit disposer d'un apport personnel de 30 000 € (droit d'entrée 29 000 € - investissement global 70 000 €).

Soleil en tête : Créé en 2004 et lancé en franchise en 2007, le réseau Soleil en tête est la première franchise dans le domaine des énergies nouvelles et plus précisément des solutions à base d'énergie solaire, Soleil en Tête diffusent trois produits phares : l'eau chaude sanitaire, le chauffage et la production d'électricité photovoltaïque. L'enseigne compte actuellement 34 unités opérationnelles. Pour rejoindre le réseau, le candidat doit disposer d'un apport personnel minimum de 50 000 € (droit d'entrée 30 000 € - investissement global 120 000 €).

Tendance rénovation : Créé en 2006 et lancé en franchise en 2010, ce réseau est leader en éco-rénovation. Il déploie 3 cœurs d’activités en perpétuelle croissance : les énergies renouvelables, les fermetures isolantes, l'isolation de combles. L'enseigne compte actuellement 18 unités opérationnelles. Pour rejoindre le réseau Tendance rénovation, le candidat doit disposer d'un apport personnel minimum de 15 000 € (droit d'entrée 9 700 € - investissement global 45 000 €).

Wanders : Spécialisé dans les cheminées et les poêles à bois et granules, Wanders s'est lancé en franchise en 2010. L'enseigne compte actuellement 55 unités opérationnelles. Pour rejoindre Wanders, le candidat doit disposer d'un apport personnel minimum de 50 000 € (droit d'entrée 20 000 € - investissement global de 120 000 à 150 000 €).

Windeo Green Futur : Créé en 2007 et lancé en franchise en 2008, ce réseau est un multi-spécialiste des EnR. Créateur d’autonomie énergétique, Windeo Green Futur est le premier opérateur local d’énergie verte : vente de solutions d’économie d’énergie et de production d’énergie verte pour particulier, entreprise et collectivité locale. L'enseigne compte actuellement 8 unités opérationnelles. Pour rejoindre ce réseau, le candidat doit disposer d'un apport personnel minimum de 50 000 € (droit d'entrée 30 000 € - investissement global 120 000 €).

Tryba Energies : Créée en 2009 et lancée en réseau de concessionnaires en 2010, l’enseigne Tryba Energies est spécialisée dans le conseil, la vente et la pose de panneaux photovoltaïques et de chauffages exploitant les énergies renouvelables. Comptant 15 points de vente en 2018, l’enseigne bénéficie de la puissance et de l’expérience du groupe ATRYA qui pilote depuis une trentaine d’années des enseignes comme Tryba, bien sûr, mais aussi Norba, Hasler Fenster, etc.

Je produis mon électricité.com : créée en 2009, lancée en réseau en 2013, fournisseur officiel d’électricité garantie 100% renouvelable en 2016, l’enseigne Je Produis Mon Electrricité.com est à part sur le marché des énergies renouvelables. En effet, d’un côté l’enseigne propose l’installation de dispositifs exploitant les énergies renouvelables (photovoltaïque, chauffage mixte, éolien, pompes à chaleur, etc.) et de l’autre est fournisseur d’électricité 100% renouvelable. L’enseigne compte 15 points de vente en 2018.

Ma petite énergie : Créée en 2016 et lancée en réseau de concessionnaires en 2017, l’enseigne Ma Petite Energie a connu un développement fulgurant puisqu’elle a ouvert 20 points de vente en moins de 2 ans. Sa spécialité : la vente et la pose de systèmes aérovoltaïques, des dispositifs hybrides permettant de produire de l’électricité et de la chaleur ventilée pour l’habitation. Une innovation ingénieuse qui séduit de plus en plus de particuliers.

Turbo Fonte : Turbo Fonte est un fabricant français de poêles à bois et granulés créé en 1980 en lancé en réseau en 2010. Profitant de l’essor de la filière bois énergie, l’enseigne a connu une croissance importante et comptait fin 2018 20 magasins en France et enregistrait en 2017 une croissance moyenne de 23% par an !

Flammes du Monde : dernière née d’un groupe spécialisé dans la distribution d’installation de chauffage au bois, l’enseigne Flammes du Monde est positionnée dans la vente et la pose de cheminées et poêles au bois et à granulés. Créée en 2012 et lancée en érseau en 2018, l’enseigne se distingue sur le marché avec une offre haut-de-gamme à mi-chemin entre le design d’intérieur et le chauffage, ce qui lui permet une plus grande liberté tarifaire, et donc de meilleures marges.

Sofath : créée en 1981, l’enseigne Sofath est une pionnière des pompes à chaleur géothermiques en France. Lancée en réseau dès 1996, l’enseigne comptait 48 points de vente fin 2018. Plus qu’une enseigne, Sofath est avant tout fabricant français de pompes à chaleur et du matériel associé.

Ami Bois : l’enseigne Ami Bois est née en 2005. 10 après, face à l’essor de la maison bois, l’enseigne se lance en réseau avec pour objectif de devenir le leader français de la construction de maisons en bois. Ecologiques, BBC et chaleureuses, les maisons bois ont le vent en poupe et connaissent une croissance continue depuis une dizaine d’années. Ami Bois comptait 10 points de vente fin 2018.

Rénovation du patrimoine : créée en 2005 et lancée en réseau en 2016, l’enseigne Préservation du patrimoine, qui comptait déjà 21 points de vente fin 2018, est spécialisée dans la rénovation énergétique. De la ventilation à l’isolation thermique par l’extérieur en passant par les menuiseries, les franchisés de l’enseigne couvrent tous les besoins des particuliers pour améliorer els performances énergétiques de l’habitat.

Les Artisans appliqués : Les Artisans Appliqués est un réseau d’installateurs spécialisés dans la pose d’un système innovant d’isolation thermique par l’extérieur conçu et fabriqué en France : UNISO. Ce système tout-en-un d’isolation et ravalement de façade facile et rapide à poser est le gros avantage concurrentiel de l’enseigne Les Artisans Appliqués.

Isocomble : créée en 2000 et lancée en réseau en 2013, l’enseigne ISOCOMBLE comptait 41 points de vente fin 2018. Le réseau est spécialisé dans l’isolation des combles perdus par soufflage. Sachant que les combles représentent 30% des pertes d’énergie de l’habitat et que l’Etat a mis en place un dispositif d’aides financières (isolation des combles à 1€), l’enseigne dispose d’un extraordinaire potentiel de croissance.

FCA : Créée en 1988 et lancée en réseau en 2010, l’enseigne FCA (Façadier Concepteur d’Avenir) est la seule enseigne à proposer aux clients une solutions de rénovation thermique globale avec engagement de résultats et contrôle du chantier par un organisme extérieur. Le réseau compte 20 franchisés fin 2018 et dispose de sa propre gamme de produits, conçus et fabriqués de manière exclusive.

Pour plus de détails sur l'enquête Opinion Way, et sur l'enquête Ademe téléchargez les Pdf correspondants.

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1 commentaire
05/02/2012 22:04:32
-
Carmen AKEL
Bonjour, cet article est très bien rédigé. En effet, je pense que les énergies renouvelables sont l'avenir. Pour ceux qui s'intéressent à la franchise, j'ai détecté un nouveau réseau très abordable: jeproduismonelectricite.com

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