logo-webcdlogo-mobilelogo-infoprologo-desktoplogo-desktop.originallogo-desktop.bakicon-theme-testicon-social-whatsappicon-social-twittericon-social-shareicon-social-linkedinicon-social-facebookicon-searchicon-search--activeIcon/playICON/24/pinicon-my-accounticon-metas-turnovericon-metas-ticketicon-metas-moneyicon-metas-investmenticon-homeicon-ctrl-chevron-righticon-ctrl-chevron-right-bakicon-ctrl-chevron-lefticon-ctrl-arrow-righticon-contributions-trainingicon-contributions-funding-assistanceicon-contributions-franchiseicon-checkicon-carticon-arrow-right-thinicon-arrow-linkicon-alerticon-action-close

trouver une franchise

Quel concept de franchise

programme coaching

> Gratuit
> 7 jours / 7 leçons
> Conseils d'experts
> Témoignages

languette
Olivier Coffin

PETITS-FILS

Olivier Coffin

Franchisé Petits-fils à Aix-en-Provence

Franchise PETITS-FILS

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 2007
  • - Date de lancement de la franchise : 2012
  • - Nombre d’implantations : 280
Créer une surveillance par email

Interview de Olivier Coffin

Publié le
Partager : Partager sur Facebook Partager sur LinkedIn

Olivier Coffin est franchisé du réseau Petits-fils à Aix-en-Provence. Avec Toute La Franchise, il a accepté de revenir sur ce qu'il a amené à se lancer dans le domaine de la dépendance, et sur ses premiers pas aux côtés de l'enseigne.


Toute La Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Olivier Coffin :
Diplômé d’une Ecole de commerce, j’ai été embauché au sein de la structure régionale de l’Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail en tant que gestionnaire de la structure. Cela a été une formidable opportunité d’utiliser pleinement mes connaissances et de me familiariser avec la gestion d’entreprise, puisque depuis longtemps, j’avais pour projet de créer mon entreprise. Pendant deux années, j’ai donc eu l’occasion de réfléchir sur ma future activité d’entrepreneur. Depuis mon adolescence, la dépendance est un secteur qui m’attire particulièrement. C’est tout d’abord un sujet auquel j’ai été confronté en tant que « petit-fils ». Faisant appel à des entreprises de service à la personne, j’ai pu me faire une idée de ce que devait être un service de qualité et des défaillances existantes, des améliorations à effectuer... Ensuite, c’est un secteur porteur puisque le nombre de personnes âgées augmente avec l’espérance de vie. Par ailleurs, mon expérience au sein de la structure régionale de l’ANACT m’a sensibilisé à des problématiques GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) du secteur des services à la personne. C’est donc tout naturellement que je me suis orienté vers ce domaine. Enfin, Aixois de naissance, j’ai décidé de créer ma structure en Pays d’Aix, la connaissance du tissu socio-économique local étant pour moi une des clés de la réussite.


TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
O.C. :
Pour réussir ce projet, j’ai choisi de devenir franchisé, ce type de structure étant d’abord un gain de temps important (image de marque, outils, procédures, savoir-faire…). L’appartenance à un réseau était également très importante pour moi, du moins pour une première expérience de création d’entreprise. Venait ensuite le choix de la franchise. Le nombre d’acteurs étant important, j’ai fait quelques recherches et parcouru différents salons afin de trouver l’entreprise qui correspondrait le mieux à mes idées. Ma priorité fut de trouver un franchiseur spécialisé sur la dépendance (beaucoup d’entreprises / associations étant trop généralistes), car on n’est jamais meilleur, selon moi, qu’en étant expert sur un domaine d’activité : cela a réduit le nombre d’acteurs. Ensuite je me suis attaché à étudier les modèles économiques des sociétés restantes avant de choisir Petits-fils. Mais je dois dire que ce qui m’a avant tout attiré chez cette entreprise fut son nom de marque. En effet, selon moi, ce dernier véhicule à lui seul toutes les valeurs que je souhaite transmettre dans mon activité de service aux personnes dépendantes.


TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
O.C. :
La structure régionale de l’ANACT, faisant du conseil en entreprise, a porté un grand nombre de projets à destination des acteurs du secteur des Services à la Personne. J’ai donc beaucoup appris sur les problématiques liées à ce domaine. Mais ce qui m’intéressait avant tout, c’était de me perfectionner en gestion d’entreprise, que ce soit en Finances, Comptabilité, Ressources Humaines… afin d’avoir l’assurance et l’autonomie nécessaires pour une création d’entreprise. Par ailleurs, j’ai toujours voulu travailler auprès des personnes âgées. Elles constituent un véritable puits de connaissances, ce qui est très enrichissant. L’échange avec les autres me manquait d’ailleurs particulièrement lors de mon précédent poste, en tant que fonction support. Travailler dans le maintien à domicile des personnes dépendantes était donc le meilleur moyen de satisfaire mes exigences professionnelles.


TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
O.C. :
L’accompagnement a commencé dès mon choix effectué, en août 2012, alors même que j’étais en poste. Il s’agissait tout d’abord de travailler sur l’étude de marché et le business plan. Même si cette tâche doit être réalisée par le futur franchisé, j’ai pu bénéficier pendant toute cette période d’un appui technique et de conseils. Ces éléments ont été validés par le franchiseur avant d’être transmis aux banques et experts comptables. Le plan de financement a d’ailleurs été rédigé en totale collaboration avec le franchiseur, ce qui a permis un très bon retour de la part des banques (5 acceptations sur 6 banques démarchées). Le financement étant accepté, le contrat de franchise a pu être signé. La seconde phase d’accompagnement pouvait débuter. Un retroplanning m’a été fourni pour que le démarrage officiel se fasse dans les meilleures conditions possibles. Demande d’agrément, recrutement, communication, administratif… sont autant d’éléments qui ont été préparés en collaboration avec le franchiseur. Puis il y a eu la formation qui m’a permis de me familiariser avec les process de l’entreprise, les outils, avant le démarrage officiel. Pendant toute cette période, j’ai pu profiter d’une grande écoute de la part des dirigeants de Petits-fils, ce qui est à mon sens essentiel en période de création, souvent sujette aux doutes et questionnements. Depuis, l’accompagnement est toujours aussi important. D’abord officiellement, avec une procédure de suivi du démarrage stricte. Le franchiseur se déplace à un mois d’activité, puis trois, six et enfin un an. Par ailleurs, je bénéficie régulièrement d’aide ou de conseils comme pour les premiers clients, des situations atypiques, les premiers contrats de travail, la facturation, la paie… Une réelle appartenance à un réseau était pour moi primordiale. Avec Petits-fils, on a la sensation très agréable de faire partie d’une même entité.


TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
O.C. :
Sans aucun doute. Pour ma part, elle a surtout été l’occasion d’apprendre sur le fonctionnement du logiciel de gestion réseau mais aussi sur les différentes techniques commerciales à appliquer. Elle permet enfin de partager avec les autres franchisés. Le savoir-faire de Petits-fils nous a été dispensé sur trois semaines, ce qui fut relativement intense, mais comme d’habitude, les franchiseurs sont restés à notre disposition après la formation pour répondre à nos éventuelles interrogations.


TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
O.C. :
Oui. Ces points sont tous spécifiés dans le contrat de franchise.


TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
O.C. :
Je n’ai pas encore eu l’opportunité de voir tout le monde mais j’ai tout de même rencontré certains franchisés lors de ma formation et nous avons tout de suite sympathisé dans une optique de partage et d’entraide. Nous nous appelons d’ailleurs régulièrement pour discuter de situations, du démarrage, de certaines spécificités de province (la tête de réseau se situant à Paris). Par ailleurs, des projets réseau vont nous permettre d’entretenir cet esprit.


TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
O.C. :
Aujourd’hui, je suis au-dessus de mes objectifs.


TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
O.C. :
Ce sont d’abord des actions de communication : relations prescripteurs (médecins, kinésithérapeutes, ostéopathes, pharmaciens, services sociaux de la ville…), distributions de brochures, envoi de courriers, référencement internet… Nous développons également des partenariats en local avec des acteurs du secteur sanitaire et social. Nous communiquons régulièrement avec la presse locale et nous sommes très présents sur les réseaux sociaux. Enfin, il est important d'en parler le plus souvent possible, que ce soit dans le cadre professionnel comme personnel afin de développer le bouche à oreille, essentiel sur notre activité.


TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
O.C. :
Le marché étant très concurrentiel, la spécialité est une des clés du succès. Même si je n’ai pas encore assez de recul, je constate déjà que c’est très apprécié.


TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
O.C. :
Oui et j’ai réellement l’impression, avec Petits-fils, d’apporter des solutions à certaines problématiques de notre secteur. Mais nous ne pouvons agir sur tout et le financement de la dépendance en fait partie. En effet, même si des aides sociales existent, elles sont largement insuffisantes pour les personnes en situation de grande dépendance et financièrement précaires, qui se retrouvent souvent isolées. Il est donc urgent de réformer un système qui a montré ses limites.


TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
O.C. :
Non. Cette activité nécessite de lourds investissements (logiciels, outils de communication, savoir-faire…) pour pouvoir se démarquer des concurrents. Les finances auraient été limitées. La franchise a donc été un moyen d’accéder à des ressources importantes tout en nous faisant gagner deux à trois ans d’activité. Sans oublier l’image de marque, qui, si elle n’est pas encore bien développée aujourd’hui en province, devrait demain être un formidable vivier de clientèle.


TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
O.C. :
Oui, les yeux fermés !


TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
O.C. :
Pour celles et ceux qui ont l’esprit d’entreprendre, l’envie de travailler avec les personnes âgées, une capacité d’écoute mais aussi d’empathie, je leur dirai de ne plus hésiter et de foncer ! La création d’entreprise implique forcément de grands doutes surtout lorsqu’on est déjà salarié, donc dans une situation relativement stable. Avec Petits-fils, soyez rassurés, nos valeurs familiales ne s’appliquent pas qu’à nos clients, vous serez réellement épaulés.


 

Nos interviews sont la propriété de Toute la Franchise et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise.

Vous appréciez cet article? Notez-le.
Note 3,8/5 - 2 avis

Partager : Partager sur Facebook Partager sur LinkedIn
Scroll to top