Alexandre Lamotte est franchisé Ecolave à Amiens. En activité depuis le printemps dernier (cf. Le réseau Ecolave s'installe à Amiens), il revient sur ses débuts de chef d’entreprise et sur son parcours d’intégration au réseau Ecolave et dresse un bilan de ces six premiers mois à la tête de son entreprise de préparation automobile.
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Alexandre Lamotte : Je suis natif d’Amiens. Professionnellement, j’ai passé près de 20 ans au sein d’une société de transport de voyageurs, en tant qu’agent d’exploitation. Après toutes ces années de salariat, je suis devenu mon propre patron en rejoignant Ecolave en mars dernier.
TLF : Pourquoi avoir créé votre entreprise en franchise et pourquoi avoir choisi d’entreprendre dans le secteur du lavage automobile écologique ?
AL : Je souhaitais depuis longtemps créer ma propre entreprise. Désirant changer de domaine professionnel, j’ai été séduit par la franchise Ecolave.
Deux critères me tenaient particulièrement à cœur dans mon projet de création d’entreprise. Je souhaitais entreprendre dans le secteur automobile car, amoureux des belles voitures, j’avais envie de côtoyer ce milieu de plus près et allier travail et plaisir. Le second point, primordial pour moi, était la franchise. Créer son entreprise en franchise apporte une sécurité et un certain confort dans les démarches car on est épaulé. Surtout, il y a la transmission d’un savoir-faire : un point essentiel.
TLF : Pourquoi avoir choisi la franchise Ecolave ? Avez-vous consulté des enseignes concurrentes ?
AL : J’ai immédiatement été conquis par Ecolave, que j’ai d’abord découvert par Internet. Je n’ai pas hésité et n’ai donc pas consulté d’autres enseignes. J’ai tout misé sur Ecolave dès les 1ers contacts, en octobre et novembre 2015. Je me suis senti en confiance, rassuré et écouté par le franchiseur et son équipe. Et puis, comme je l’évoquais précédemment, la transmission du savoir-faire est primordiale, et chez Ecolave, elle est de qualité, ce qui est selon moi un gage de bon démarrage.
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
AL : Il y a un vrai suivi. J’ai souvent Pascal [Pascal Le Frout, animateur réseau] au téléphone, 1 à 2 fois par mois, en plus de ses visites, pour savoir si tous se passe bien pour moi, s’il n’y a pas de soucis… L’accompagnement est un point fort et positif d’Ecolave. Nous ne sommes pas seuls.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
AL : Oui complètement ! Que ce soit la formation théorique au siège, à Vertou, puis la semaine au côté de mon moniteur-franchisé et ensuite sur le terrain avec Pascal. Elle apporte vraiment des bases solides pour démarrer. Après, bien sûr, le process s’affine au fur et à mesure que l’expérience grandit quand on est seul sur le terrain.
TLF : Où en êtes-vous aujourd’hui, après 6 mois d’activité ?
AL : Tout se déroule parfaitement, dès les 1ers jours j’ai réalisé des interventions. J’ai 3 clients réguliers : des concessionnaires chez qui je vais toutes les semaines. Mon planning est déjà bien rempli. Maintenant, je travaille à élargir mon champ d’action aux particuliers qui représentent aussi un fort potentiel.
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
AL : Mon chiffre d’affaires progresse doucement mais régulièrement. Ayant démarré il y seulement 6 mois, c’est très positif !
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
AL : Il existe un vrai rapport humain entre les membres du réseau et c’est réconfortant. J’ai déjà eu besoin d’appeler d’autres franchisés pour avoir des conseils et l’accueil a toujours été bon. Même si l’on ne se connait par forcément tous de visu, quand on se parle par téléphone on a l’impression de se connaître depuis des années. On est sur la même longueur d’onde. Donc oui, sans nul doute, l’esprit réseau est bien présent au sein d’Ecolave.
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez dû la créer seul ?
AL : Je ne pense pas, on ne peut pas s’improviser préparateur automobile, c’est un vrai métier qui demande un certain savoir-faire. L’accompagnement que propose Ecolave offre cela. Et se lancer avec cette enseigne permet d’être plus serein.