« Ancien de chez McDonald’s, je souhaitais rester dans le secteur dynamique de la restauration pour me lancer en franchise », Christophe Cassassus (franchisé WOKO Bordeaux Lac)
Franchisé WOKO à Bordeaux depuis trois ans, Christophe Cassassus explique à Toute la Franchise pourquoi il a fait le choix de ce réseau lorsqu'il a décidé de devenir son propre patron.
WOKO
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je suis Christophe Cassassus, 43 ans, marié avec deux enfants (5 ans et 8 ans). Je suis originaire de Haute Savoie. Depuis l’ouverture du restaurant WOKO en franchise en 2019, j’habite à Bordeaux. Je suis passionnée par la restauration rapide. J’ai choisi la franchise WOKO car je souhaitais être fier de l’enseigne que j’allais développer.
Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
Je souhaitais avoir une sécurité en choisissant l’entrepreneuriat en franchise. Mes points forts : mon sens commercial, ma force de vente. Mais je n’ai pas les compétences pour créer un concept. Je voulais un concept clé en main, qui a fait ses preuves.
J’ai bien entendu consulté les concurrents de WOKO avant de la choisir. Mais les autres concepts n’étaient pas aussi aboutis que WOKO qui me donnait déjà l’impression d’une chaîne internationale. J’ai fait des tests chez plusieurs enseignes, mais j’ai finalement choisi WOKO pour ses valeurs, le lien créé avec le fondateur, et pour le sérieux de l’enseigne.
Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
Oui, j’ai passé quinze ans chez Mcdonald's : d’employé polyvalent à superviseur de restaurants. J’aime ce secteur dynamique, je souhaitais rester dans la restauration pour me lancer en franchise.
Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
J’ai découvert WOKO en allant y manger par hasard avec ma femme. On a tout de suite été conquis par le concept que l’on trouvait très abouti, et dont on a repéré le potentiel. Les produits sont bons, les process ont l’air bien calés.
J’ai pris contact avec le fondateur avec qui j’ai directement accroché. Il s’en est suivi trois années en tant que salariés chez WOKO, pour me former, et rechercher l’emplacement idéal. WOKO nous a accompagnés, ma femme et moi, à trouver un emplacement, et à nous aider dans ce changement de vie à Bordeaux. L’équipe WOKO était présente plusieurs semaines avant et après l’ouverture. L’accompagnement était vraiment super !
La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
J’ai travaillé chez WOKO pendant trois ans avant d’ouvrir donc oui. Je connaissais WOKO de l’intérieur. Ma formation était différente de celle d’un franchisé classique, mais en tout cas, j’étais prêt à me lancer lors de l’ouverture !
Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
Oui, c’est clair. Et même au-delà. Je suis devenue proche du fondateur que je considère désormais comme un ami. Il m’a beaucoup aidé sur le point personnel et professionnel pour ce changement de vie.
Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
C’est toujours la cohue en réunion ! {rire} Non je rigole ! Je suis le premier franchisé, donc pour le moment, je n’ai pas l’esprit réseau avec d’autres franchisés. Mais cela me convient bien car j’aime cette indépendance-là. Je me sens libre dans mon activité. Dès que j’ai un besoin, j’ai toujours une personne de l’équipe WOKO disponible pour m’aider.
En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
Si j’avais su qu’il y aurait le Covid, j’aurais vu mes objectifs à la baisse, et je les aurais évidemment atteints !
Nous proposons une offre avec un très bon rapport qualité/prix. D’où l’esprit “casual”. D’autre part, nous reprenons les codes de la restauration rapide pour s’adapter aux besoins de rapidité de notre clientèle. D’où l’esprit “fast”.
Quelles actions menez-vous pour développer votre chiffre d’affaires et vos clients ?
Nous faisons de la communication nationale (grâce à l’équipe communication du siège), et je fais de mon côté de la publicité locale : de l’affichage 4x3, des offres en click-and-collect, et en livraison, la carte VIP -10% pour les commerçants et les adhérents du club de football local Le Bouscat. Nous avons notre logo WOKO sur le maillot des joueurs, et une grande bannière au stade de foot qui nous donne une belle visibilité au niveau local.
Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
Le concept est bien positionné. J’aime mettre en avant le fait que les produits sont de qualité. Par exemple, ce matin, j’ai reçu du porc d’origine française. Nous le marinons sur place. Chez WOKO, c’est beaucoup de produits frais, et de préparations maison. Nous proposons une offre avec un très bon rapport qualité/prix. D’où l’esprit “casual”. D’autre part, nous reprenons les codes de la restauration rapide pour s’adapter aux besoins de rapidité de notre clientèle. D’où l’esprit “fast”.
Pour moi le positionnement sur le marché est bien justifié. Nos clients sont des personnes qui réfléchissent à ce qu’elles mangent, et veulent changer du traditionnel burger/pizza.
L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
Quand j’ai voulu me lancer, je voulais à tout prix rester dans la restauration et trouver une cuisine qui me plaise et qui réponde à mes valeurs. WOKO est fidèle à mes attentes.
Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
Je ne pense pas que j’aurais été capable de créer un concept. Ce n’est pas quelque chose que je maîtrise. J’ai besoin d’un cadre, un côté rassurant. D’autre part, je ne suis pas sûr que j’aurais trouvé un emplacement pareil sans l’aide de WOKO. Quand je suis rentré chez WOKO, je n’ai eu aucun doute sur le fait de vouloir ouvrir un WOKO. Mon expérience avait été unique. Ce n’était pas une copie d’un concurrent, mais un vrai concept unique qui me parlait.
Si c'était à refaire, je resignerais immédiatement !
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
La franchise c’est un choix de vie. Il faut avoir envie de beaucoup travailler mais pour rien au monde, je ne retournerais en arrière !
Vous souhaitez en savoir plus sur le concept et ses atouts sur le marché de la street-food vietnamienne ? Rendez-vous sur la fiche personnalisée du groupe pour savoir comment ouvrir un restaurant en franchise avec WOKO !