Enquête consommation : Comment séduire la génération Y ?
Les grandes marques ont bien du mal à s'y retrouver...
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La consommation : d'une crise à l'autre, l'étude du Crédoc |
Le Y de l'appellation fait à la fois référence à la dénomination X de la génération précédente mais aussi et surtout à l'anglicisme Why (pourquoi) qui se prononce « ouaille » comme le Y en anglais. Et le pourquoi est important ! En effet, cette génération se caractérise par une recherche perpétuelle de savoir pourquoi elle doit se plier aux contraintes qui pèsent sur elle ! Abreuvée de séries télévisions japonaises et initiées dès le berceau aux technologies numériques, cette nouvelle génération veut prendre les choses en main à sa manière. Et la réponse apportée par les GenY est paradoxale : c'est l'individualisme communautaire ! Une sorte de compromis étrange où le loisir renvoie à l'éternelle enfance mais où dans le même temps, la rudesse de la vie fait grandir les esprits à la vitesse grand V.
Face à ces paradoxes, les marketters de tous poils ont fait marcher leurs méninges. Et ce qui ressort de ces réflexions fait l'objet depuis 2003 d'une publication en ligne abondante. Parmi les principales pistes retenues, l'instantanéité, la facilité et le partage s'imposent d'elles-mêmes. Habitués à trouver l'information en quelques secondes sur internet, les GenY sont impatients par nature. Ils veulent tout tout de suite, quelqu'en soit le prix. Le succès des ventes d'iPhone et autre iPod est là pour confirmer que le GenY peut mettre les moyens dans ses achats lorsque le produit proposé correspond à ses attentes.
A côté de ça, le réflexe de la génération Y est aussi de traquer la bonne affaire. Habitués au gratuit sur internet, les GenY refusent catégoriquement de payer pour des services qui n'ont pas à leurs yeux une réelle valeur ajoutée. Aguerris aux techniques du marketing classiques, les GenY ne se laissent pas berner par des argumentaires trop alléchants. Leur refus de l'autorité et leur anti-conformisme ajoutent à la difficulté de faire passer les messages. A la fois engagés pour un monde plus juste et en opposition avec les modèles classiques d'influence (partis politiques et syndicats), les GenY se retournent vers le net pour faire bouger les consciences de façon interactive et immédiate. Face à cette cible mouvante et imprévisible, les marques commencent à réagir en multipliant les actions et les buzz sur internet. La fibre participative de la génération Y est ainsi mise à contribution.
Face à ces paradoxes, les marketters de tous poils ont fait marcher leurs méninges. Et ce qui ressort de ces réflexions fait l'objet depuis 2003 d'une publication en ligne abondante. Parmi les principales pistes retenues, l'instantanéité, la facilité et le partage s'imposent d'elles-mêmes. Habitués à trouver l'information en quelques secondes sur internet, les GenY sont impatients par nature. Ils veulent tout tout de suite, quelqu'en soit le prix. Le succès des ventes d'iPhone et autre iPod est là pour confirmer que le GenY peut mettre les moyens dans ses achats lorsque le produit proposé correspond à ses attentes.
A côté de ça, le réflexe de la génération Y est aussi de traquer la bonne affaire. Habitués au gratuit sur internet, les GenY refusent catégoriquement de payer pour des services qui n'ont pas à leurs yeux une réelle valeur ajoutée. Aguerris aux techniques du marketing classiques, les GenY ne se laissent pas berner par des argumentaires trop alléchants. Leur refus de l'autorité et leur anti-conformisme ajoutent à la difficulté de faire passer les messages. A la fois engagés pour un monde plus juste et en opposition avec les modèles classiques d'influence (partis politiques et syndicats), les GenY se retournent vers le net pour faire bouger les consciences de façon interactive et immédiate. Face à cette cible mouvante et imprévisible, les marques commencent à réagir en multipliant les actions et les buzz sur internet. La fibre participative de la génération Y est ainsi mise à contribution.
Dominique, Journaliste toute-la-franchise©