Changer de vie grâce à la franchise : elles ont osé sauter le pas et se lancer !
Témoignages de trois femmes qui ont choisi la franchise pour créer leur entreprise
Elles étaient salariées, aspirant à autre chose. Grâce à la franchise, elles ont décidé de prendre leur indépendance. Désormais cheffes d’entreprise, Aurélie Guilleminot, Cyrielle Haincaud et Hélène Hector témoignent ici de leur parcours professionnel, de ce qui les a motivées à sauter le pas et de leur satisfaction d’être aujourd’hui à leur compte.
La franchise comme tremplin pour une nouvelle vie
Les chiffres qui ressortent du Baromètre de la Franchise au féminin 2024, mené conjointement par Toute la Franchise et Reconversion en Franchise (*), sont clairs : 80% des femmes franchisées étaient salariées avant de se lancer et 66% d’entre elles ont changé de secteur d’activité lorsqu’elles ont créé leur entreprise.
Preuve s’il en fallait de l’importance de l’accompagnement offert par les franchiseurs. « J’avais envie de me lancer, de me challenger, mais je n’avais pas spécialement l’idée ni les compétences pour entreprendre dans la petite enfance, encore moins les diplômes, explique Hélène Hector, multi franchisée O P’tit Môme à Trappes. Lorsque j’ai rencontré le franchiseur O P’tit Môme, il y a eu comme un coup de foudre pour leur bienveillance, leur savoir-faire et leur savoir-être. Nous nous sommes fait confiance mutuellement et nous avons décidé d’entreprendre ensemble ! » La cheffe d’entreprise a ainsi pu compter sur tout le soutien du groupe pour démarrer sa nouvelle activité et s’épanouir dans la gestion de micro-crèches.
Cyrielle Haincaud, également franchisée au sein de ce réseau, fait le même constat. Cette ancienne infirmière en urgence pédiatrique explique qu’après avoir vu ses conditions de travail se dégrader au fil du temps, elle a décidé, du jour au lendemain, de changer de vie professionnelle. Formée et accompagnée par O P’tit Môme, elle est aujourd’hui à la tête de quatre micro-crèches.
« J’aime savoir que je ne suis pas seule ! poursuit Hélène Hector. Je ne connais pas la solitude du dirigeant ; je suis épaulée par toutes mes collègues du secteur mais également par tout le siège. Savoir qu’on est soutenues et qu’en cas de besoin, on a toujours quelqu’un qui nous accompagne, c’est d’un grand réconfort ! »
Et cet accompagnement se ressent à chaque étape du développement de l’activité. Aurélie Guilleminot, franchisée La Pizza de Nico à Strasbourg, explique avoir eu des moments de doute au moment de la reprise de son second restaurant. « Je n’étais pas sûre d’y arriver, je me remettais en question, avoue la jeune femme. La tête de réseau m’a beaucoup aidée : au moindre doute, on peut leur en parler, c’est très appréciable ! »
De salariée à franchisée : ce qui a changé
Malgré cet accompagnement optimal des franchiseurs, passer du salariat à l’entrepreneuriat implique de nombreux changements. Les ressources humaines sont par exemple un domaine que la plupart des chefs d’entreprise, hommes ou femmes, ne connaissent pas lorsqu’ils se mettent à leur compte. Tout l’aspect administratif est également à prendre en compte. « Je commence mes journées très tôt pour faire tout l’administratif : les plannings, la gestion des absences du jour ou les paies, tout le côté patron qu’on a dans une entreprise, raconte Aurélie Guilleminot. Je prépare ensuite le terrain pour le service du midi dans les restaurants et suis ensuite en cuisine pour faire les pizzas. Je veux m’impliquer et mets un point d’honneur à continuer à travailler avec mes équipes ! »
Les journées de ces cheffes d’entreprise sont donc parfois très longues, mais « c’est tellement épanouissant au quotidien, tempère Hélène Hector. Ce que je vis en tant que franchisée n’a rien à voir avec mes précédentes fonctions ! On est dans quelque chose de libre, avec des contraintes, certes, comme il y en a dans toutes les professions, mais avec beaucoup d’autonomie, beaucoup d’humain, beaucoup de reconnaissance ! On est vraiment dans le cercle vertueux de la franchise. »
Si on aime se challenger, il faut vraiment y aller et ne pas avoir peur de se tromper. On sort toujours grandi de ses erreurs !
Et même quand des périodes de doute sont là, ce qui est inéluctables selon ces franchisées, il est important de toujours aller de l’avant. « Ce n’est pas tous les jours tout rose, souligne Cyrielle Haincaud, mais je pense qu’avec le temps on gère de mieux en mieux ses périodes de doute. Quand on rencontre un obstacle pour la première fois, on se dit que ça va être insurmontable et puis, finalement, on se rend compte qu’avec de l’aide et de la ténacité, on arrive à la surmonter et quand il revient une deuxième fois, on l’a déjà géré et tout va bien ! »
« Parfois certaines choses peuvent nous sembler insurmontables, confirme la seconde franchisée O P’tit Môme. Alors qu’en fait, on ne se rend juste pas compte à quel point on regorge d’énergie et de possibilités ! »
Devenir franchisée : leurs conseils de femmes
Aujourd’hui, avec le recul acquis depuis le lancement de leurs entreprises respectives, Aurélie Guilleminot, Cyrielle Haincaud et Hélène Hector sont convaincues d’avoir fait le bon choix avec la franchise, comme plus d’une femme franchisée sur deux qui estiment qu’elles auraient ouvert leur franchise plus tôt si elles avaient connu ce modèle économique avant. « Si on aime se challenger, il faut vraiment y aller et ne pas avoir peur de se tromper, recommande Cyrielle. On sort toujours grandi de ses erreurs ! »
« Etre une femme ne doit pas être un frein, précise Aurélie Guilleminot. Si on est certaine de son projet, il faut se lancer ! Avec une vraie volonté, un bon entourage et de l’implication, ça va le faire ! » Elle est d’ailleurs aussitôt rejointe dans ses encouragements par Hélène Hector qui conclut : « Il faut savoir se faire confiance et oser. Quand l’heure est venue, on le sait ! »
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Vous pouvez également télécharger le Baromètre de la Franchise 2024, et découvrir les témoignages complets de ces trois femmes franchisées ainsi qu’une aalyse approfondie des chiffres de l’enquête dans le replay du webinaire Baromètre La Franchise au Féminin 2024 : Qui sont ces femmes franchisées ?
(*) Enquête réalisée par Toute la Franchise et Reconversion en Franchise entre le 18 octobre et le 5 décembre 2023, auprès d’un échantillon représentatif de 219 participantes de tous âges (entre 20 et plus de 50 ans), issues de 42 enseignes, tous secteurs confondus.
