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Restauration : le sandwich plus fort que le burger !

1 milliard de sandwichs vendus en France en 2014 contre 970 millions de burgers

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En mars dernier, le cabinet NPD Group dressait un état des lieux de la vente de sandwichs et burgers en France, et comme les années précédentes le sandwich reste un best seller avec 1 milliard d'unités écoulé en 2014 !

sandwich plus fort que le burger Le sandwich ne connait pas la crise en France ! Tel est l'enseignement que l'on peut tirer des derniers chiffres dévoilés en mars par le cabinet NPD Group. Dans le détail, un français sur quatre consomme un sandwich pour son déjeuner. En moyenne, l'an dernier en France il s'est écoulé quelque 22 millions de sandwichs chaque semaine, soit près de 90 millions par mois !

Sur l'ensemble de l'année, il s’est vendu près d’un milliard de sandwichs (baguette, panini, wraps,) en 2014, soit un chiffre assez stable par rapport à 2013, mais la tendance reste orientée à la baisse. Pourquoi ? Tout simplement parce que de nombreuses alternatives arrivent continuellement sur le marché. « Sur les cinq dernières années, entre concepts nomades innovants et tendances culinaires mondiales, la restauration française a vu apparaître de nombreux concurrents au sandwich traditionnel » précise NPD Group. Ainsi, NPD constate une baisse de 10% des volumes de sandwichs vendus depuis 2009. « Tandis que les segments des wraps et des paninis restent plutôt dynamiques (bien que relativement petits en volumes, soit 10% de la catégorie), les sandwichs classiques, eux, semblent perdre de l’attrait aux yeux des français » Globalement, les ventes s'organisent au ¾ via les différents circuits de la restauration rapide (sandwicheries, boulangeries, grandes et moyennes surfaces). Le quart restant est vendu via les cafétérias d'entreprises, les stations-service, les distributeurs automatiques. « Les boulangeries et les GMS, qui développent de plus en plus l’offre déjeuner et sandwich frais, gagnent des parts de marché en volume sur les autres acteurs de la restauration rapide. »

Le burger, le concurrent n°1

Avec 970 millions d'unité vendus en 2014, le burger reste le concurrent n°1 du sandwich. Et selon Maria Bertoch, Industry Expert de la Division Foodservice Europe de NPD Group, l'essor du burger est loin d'être terminé : « Poussé par les colosses du fastfood, il s’est imposé comme phénomène incontournable du secteur » commente l'experte qui ajoute : « Si de nouveaux intervenants - food trucks, sandwicheries spécialisées – contribuent pour beaucoup à cette croissance, les restaurants traditionnels proposent à leur tour des concepts mixtes, mêlant consommation sur place et vente à emporter comme Red d’Hippo de Hippopotamus ou Buffalo Burger de Buffalo Grill. Le marché compte ainsi près de 970 millions de burgers vendus, tous circuits confondus, en 2014 – soit une croissance de + 13% par rapport à 2009, et ce en dépit de la crise ». Plus encore que des rivaux, le burger et le sandwich répondent en fait à des demandes complémentaires. « Le sandwich est un produit pour le déjeuner d’adultes, tandis que le burger profite de son positionnement multi-cibles et multi-moments ».

Clairement, quand 70% des ventes journalières de sandwichs se concentrent sur le déjeuner, pour le burger, les ventes se répartissent beaucoup plus sur le déjeuner et le diner. «
On note également que 3 sandwichs sur 4 sont consommés hors lieu d’achat, alors qu'1 burger sur 2 est dégusté sur place. » Les deux rivaux séduisent aussi des cibles quelque peu différentes. Pour les sandwichs, les consommateurs sont à 50% des 35 ans et plus, tandis que pour le burger, la cible est plus volontiers chez les jeunes et les très jeunes (2/3 des consommateurs ont moins de 35 ans).

Les challengers à suivre

Aux côtés du sandwich et du burger, les Français ont de plus en plus de choix et ne s'en privent pas ! Selon NPD Group, « la montée en puissance des concepts chauds » est le phénomène de ces dernières années « avec notamment le succès des « pâtes à emporter » (Mezzo di Pasta, Nooi pour ne citer qu’eux) qui a commencé avec le lancement de Pasta Box par Sodebo en 2009. » De plus en plus ancrées dans les mœurs, les pastas sont consommées aujourd'hui par 1 français sur 50 à l’heure du déjeuner : « un volume encore relativement faible mais qui a plus que doublé sur le marché français ces dernières années. » Les autres challengers à suivre sont « les concepts classiques comme les paninis, les kebabs et les hot dogs » quoiqu'ils accusent aujourd'hui une légère baisse en volume (- 2% sur les 5 dernières années). Devant la multiplicité des offres, et l'arrivée incessante de nouveaux concepts « la concurrence entre les produits devient plus exacerbée », ce qui pousse les acteurs en place à faire des vrais efforts sur « l'excellence des produits proposés, mais également sur la capacité d’être à l’écoute des tendances et d’introduire des innovations… ».

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